Qui suis-je ?

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La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.

Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...

« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »

Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »

Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !

Toutes les fautes d'orthographes sont corrigées au fur et à mesure des rencontres... Et toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite

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mardi

L'institutrice


Elle aimait
Elle aimait tant le chant
Le chant de la nature
Au petit matin
Elle avait le goût
Le goût pour le déroulement
Invariable des choses
C'était sans doute à nos yeux
Peu de choses
Mais n'était-elle pas heureuse
Face à tous ces bambins

Stoïque devant son monde
Tous les matins
Inlassablement elle disait
Bonjour
Bonjour
Bonjour

Cette existence la comblait
A côté de ses gamins
De ses animaux
De ses plantes
De ses cours

Au fond de son cœur
Elle n'était pas attirée
Attirée par l'abondance
De nous faire apprendre
Apprendre des leçons par cœur
Elle aimait avant tout
Le partage et l'exubérance

Un matin
Le portail en fer gris
Resta fermé sous le froid
Et la cloche ne retentit pas
Perdue dans son beffroi
Était-ce l'écho d'un au revoir
Nous ne pouvions pas y croire

59 commentaires:

  1. Je découvre votre blog grâce à vous qui m'avez fait l'honneur de venir vous inscrire sur le mien, et, j'ai le coup de foudre !!!
    Le peu que j'ai lu, ça me plait, vous écrivez bien.
    L'ensemble me fait dire, sans que je prenne trop de risque, que vous êtes un artiste !!!
    Je reviendrai souvent !!!
    Même la musique que j'entends ne m'est pas étrangère, mais fait bien partie de mon monde !!!
    Bien à vous.

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  2. Mathilde lorsque j'ai vu votre blog je me suis dit que le mien ne pouvait pas rester dans l'ombre de votre regard mais devait être sous votre lumière... L'échange poétique est une richesse sans fin sans frontière et libre, si l'on sait s'ouvrir et se découvrir un peu beaucoup passionnément.
    Au plaisir!

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  3. En plus, vous êtes réactif ! J'adore !!!
    Une jolie journée que voilà grâce à votre intervention !!!
    A très très bientôt !!!

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  4. Je ne suis pas un avion à réaction, juste un ange ou un chérubin ou un homme ou que sais-je selon les situations mais sûrement pas une machine. Ce qui est certain c'est qu'un blog doit être vivant, et si je devais m'enfuir un instant, je passerai une bande annonce en haut pour signaler mon absence...
    Et si votre journée a été plus belle que prévu parce que je suis passé par là, alors tant mieux! Et j'ai vu que vous vous êtes «engagé»...
    Certains messages dont le votre m'ont amené à une réflexion et j'ai placé un contact e-mail pour correspondre hors commentaire...
    A bientôt !

    RépondreSupprimer
  5. Un émouvant poème pour cette institutrice qui a marqué tes jeunes années!
    Il est des personnes que l'on n'oublie jamais et en te lisant,
    je vois qu'elle en fait partie!
    Très joli souvenir


    Citation:
    Elle aimait tant le chant de la nature au petit matin
    Et avait le goût pour le déroulement invariable des choses
    C'était sans doute à nos yeux peu de choses
    Mais n'était-elle pas heureuse face à tous ces bambins

    Icare

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  6. bou diou ! moi la petite école j'en garde de très mauvais souvenirs ... j'étais dyslexique , je n'arrivais pas à lire ...et j'étais tout le temps punie ...
    ce ci dit je trouve ton poème très attendrissant ..
    la bonne soirée James

    Agnès

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  7. Comme Agnès ,très mauvais souvenir de l'école primaire ,moi j'étais dans un monde paralèle ,à mi-chemin entre le ciel et la cime des chataigners
    qui trônaient dans la cour ,je me faisais oublier !
    Nina

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  8. Un beau retour sur un moment de vie, un moment d'enfance qui a laissé sa trace sur notre chemin...

    Merci cher james px pour cette douce nostalgie...

    Alex

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  9. Une jolie façon de revenir sur ces souvenirs d"école ...

    Des êtres parfois nous marquent plus que d'autres ...allez savoir pourquoi ?

    Marie-rose

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  10. JAMES Px, ma première institutrice m'a marqué et même si je ne revois pas son visage je me souviens des journées dans la classe unique de mon village natal où j'ai appris à lire.
    Merci de cette évocation. Amicalement: Yvon.

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  11. merci pour ton écrit qui c' est sûr nous rappelle des épisodes que l ' on a gardé en nous .
    Moi je me souviens des instits , des profs , ainsi que certains jours qui restent en moi et ne sais
    pourquoi ...Notre subconscient sans doute a tout en réserve du vécu ..

    Bonne journée

    Lily

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  12. Icare... Il est difficile d'oublier cette période car c'est le premier instant de vie hors du nid familiale en général, la première plongée dans le monde où nous sommes confrontés à l'opposition, aux autres, à une autorité extérieur etc

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  13. Agnès... Fiat lux ... Parfois il y a des ombres qui sont plus obscurent que d'autres

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  14. Nina... Pourquoi avais-tu la tête ailleurs ce n'est pas anodin il y a une explication et quand tu l'auras trouvé tu seras répondre à d'autres questions que tu te poses aujourd'hui sans doute

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  15. Alex... Toutes les traces sont belles à regarder, mêmes si parfois elles ont été plus superficielles, elles restent indélébiles. Ce qu'il faut c'est évacuer les mauvaises et là c'est un autre chapitre !

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  16. Marie-rose... C'est ce que l'on appelle avoir des sentiments une sensibilité forte et un recul certain avec le présent qui pousse parfois notre pensée à réflèchir ou à se souvenir de notre passé

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  17. Moi je me rappelle de tous les visages et surtout celui de l'institutrice du CP...
    yvon d'ore... Et la première année c'était dans une vieille école avec un plancher en bois et un poêle ... En 71 un hivers avaec beaucoup de neige (j'habitais en montagne) bref ensuite j'ai intégrè la nouvelle école et là les souvenirs sont plus communs !

    James Px.

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  18. Lily... Toutes ses rémiscences ne reviennent pas toujours par hasard, c'est après ou pendant notre présent une pensée une évènement qu'elles nous rappellent de bons ou de mauvais souvenirs, la vie est une perpéptuelle accumulation d'images qui finissent par devenir le film de notre vie !

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  19. helloooooooooooooooo

    belle poésie qui me replonge dans mon enfance, il y a certains professeurs qui nous touchent plus que d'autres car ils possèdent un charisme assez fort
    bisouillesssssssss pour toi
    gourmandine

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  20. Gourmandine... A voir du charisme, je crois que c'est la clé pour réussir quelque chose et Peu importe la nature ou le degré de la chose.

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  21. Dsl mais je n'ai jamais aimé l'école ...

    Entre les coups de règles en fer , les humiliations et la méchanceté ...je suis tombée du nid ...et me suis brisée les ailes ..atterrissage forcé.

    Sauf une ....une qui m'a prise sous son aile pour apprendre les mots , la lecture ...Une qui m'a donné de la tendresse ...je le remercie encore aujourd'hui...


    Létie

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  22. Létie... Qui aime vraiment l'école lève le doigt !
    Et bien tu vois il y a toujours une bonne surprise, même qu'une et on s'en souvient, moi aussi j'avais des préférences... Merci pour ton passage à l'école des fans !

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  23. L'école est forcément un moment très fort de notre enfance, au point que nous, enseignants, voyons parfois plus les enfants que leurs parents, d'où un attachement qui peut tout à fait se comprendre...
    Très belle évocation, James, un désarroi que tu rends joliment bien...
    Amitiés

    Stéphane

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  24. Quel beau portrait Jamex Px! tu me donnes presque envie d'écrire sur mes institutrices, j'ai tellement de beaux souvenirs de mes années d'école,lieu le plus heureux de mon existence!
    Mirabelle

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  25. Merci, James, pour raviver les souvenirs d'un monde que j'aime !!

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  26. Poème au goût de craie et odeur de platanes.
    Clari

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  27. Elle a laissé de beaux souvenirs dans ta mémoire. Elle n'est donc jamais vraiment partie.
    J'ai aimé !
    Francis..

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  28. "Elles" ne laissent personne indifférent...tendre poème empreint de nostalgie...
    Nous en avons tous une en mémoire.
    lotus.

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  29. Mirabelle... Le souvenir, un mot qui ravive la nostalgie si l'on rentre à huit-clos chez lui...

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  30. Clari... Les odeurs sont itinérantes aux souvenirs ...

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  31. La chute est rondement menée et amenée.
    Et puis un faible pour "le déroulement invariable des choses"...
    Idiotèque

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  32. ça fleure bon une France d'antan. Les enfants d'aujourd'hui auront-ils la même nostalgie.
    Beau texte
    PierreJ.

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  33. j'ai connu moi aussi ces institutrices, je les ai admiré, et ébloui en même temps, car j'avais toujours le doigt levé pour poser des questions ou y répondre. Mais peut-être qu'à cet âge là leur féminité m'échappait contrairement à Galatéa. j'ai bien peur que tout ait changé. Les institutrices d'aujourd'hui dépriment, et leur autorité est mise à mal, par des jeunes trop précoces dans la vulgarité. Le français emmerde les garçons et les souvenirs de vacances ne sont plus au programme. Mais bon nous ne sommes pas les enfants d'aujourd'hui alors gardons notre nostalgie...

    elisabetha

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  34. Ces femmes et ces hommes ne savent pas à quel point ils ont compté pour nous, parfois...
    Belle évocation.
    Pritos

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  35. Il y a des gens qui marquent l'existence par la lumière qu'ils diffusent autour d'eux
    Cette institutrice te laisse un doux souvenir
    douce soirée
    Christine

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  36. Lotus ...
    J'ai relevé ces notes sur le sujet.
    Alors pourquoi la France aujourd'hui est-elle aussi nostalgique et cette nostalgie est-elle un état d'esprit propre à notre pays ?
    "Au fond de lui, chaque Français pense qu'il a une mission à accomplir, héritée du christianisme : être le fer de lance de la vérité. Longtemps la France a incarné cet idéal de beauté et de vérité. Ce n'est plus le cas. Nous avons perdu notre prépotence sur le plan culturel, notre langue décline. Nous nous sentons orphelins d'un âge d'or, en quelque sorte. Notre hantise : nous banaliser."
    Peuple cyclothymique, les Français ont toujours oscillé entre désenchantement et illusions. Ne retrouvons pas cette dualité dans leurs lectures du moment :
    "Deux des écrivains les plus lus actuellement incarnent les deux facettes de notre personnalité. D'un côté Michel Houellebecq, le naturalisme et le déprimisme réunis; de l'autre, Jean d'Ormesson, l'optimisme et la légèreté."
    Entre la pluie et le soleil, la météo nationale demeure encore incertaine.

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  37. Francis
    Pourtant je n'aimais pas vraiment l'école, enfin je fonctionne aux sentiments aux feeling et j'avais des résultats en fonction de cela, comme aujourd'hui, je fonce si je sens les gens ou les choses ! Sinon je dors lol!
    Merci

    RépondreSupprimer
  38. PierreJ.
    La nostalgie ne se transmettrait-il pas comme un ADN, mais faut-il encore le décoder pour l'utiliser à bon escient...
    Merci

    RépondreSupprimer
  39. Idiotèque
    Oui moi aussi ... et merci pour le com

    RépondreSupprimer
  40. elisabetha
    Merci pour l'anecdote ... Et ton analyse !

    RépondreSupprimer
  41. Pritos
    J'imagine le contraire !

    RépondreSupprimer
  42. maîtresse

    Un cycliste passa, les yeux virant au gris
    Dans le gris des voitures, chenu mais tout halé
    par les vents de misère des migrants saisonniers
    et moi hier j’avais fait mon adieu
    à ma mère en esprit tenue debout
    par un corset de fer
    oh ma mère !
    Ma fille ne pleure pas
    Ses yeux étaient voilés par la longue poussière
    De presque un siècle et tous les souvenirs
    Tremblaient dans ses doigts maigres
    Oh Maîtresse !
    Et elle s’excusait d’être devenue vieille
    Perdue comme une enfant et se tenant aux chaises
    Oh Madame !
    Je vous ai vu revivre et j’ai tenu vos mains
    Reviens vite dit-elle car la fin s’amenuise
    Tu es là, disait-elle, tu as les mêmes yeux
    Le carillon sonna midi
    Carillon d’autrefois, la maison du bonheur
    Votre odeur de café et le goût de vos fraises
    Avec votre air de rien de grande femme digne
    Vous avez imprégné nos âmes enfantines
    Lors, il se faut quitter, et c’est le quit ultime
    Vous aviez un message, je le transporterai
    Sur mon radeau naufrage, aux enfants je dirai
    Qu’il était une femme, une femme anonyme
    Qui simplement vivait.
    Oh maîtresse !
    Pourquoi ne pas avoir écrit votre intérieure vie ?
    Dans le château d’Alice je fis un compliment
    Quand au retir vous fûtes
    L’air était plein de fleurs, de chants
    Oh que la destinée nous brûle
    Et je vis votre main transparente
    S’agiter pauvrement
    Au fond du couloir
    Noir.
    Marinette 1985

    ©M.LAURENT – D’âme – dépôt légal ISBN 978-2-919390-02-1

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  43. "Il n' y a pas de mauvais élèves mais de mauvais maître " Ce qui complique un peu la tâche de l'enseignant Merci à toi de rendre hommage à cette institutrice par ce joli écrit
    poetesdisparus

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  44. merci pour votre beau texte james
    j'étais moi-même enseignante et les enfants me manquent ils m'ont plus appris que moi je ne l'ai fait
    et ma maîtresse m'a sauvé la vie
    La dame

    RépondreSupprimer
  45. Christine
    Avons-nous les souvenirs que nous méritons ?

    RépondreSupprimer
  46. Bravo pour ton beau poème.
    Ce serait la pire des ingratitudes de nier la compétence du corps enseignant ,et à tous les niveaux. Bien sûr je n’ignore pas les exceptions.
    Si nous sommes encore debout c'est grâce à ces honnêtes braves hommes et femmes qui veillent toujours au bon déroulement de leur noble tache combien compliquée de nos jours!!!
    Amitiés,
    Fadmirateur

    RépondreSupprimer
  47. Je ne suis pas enseignant et je n'ai pas vraiment aimé l'école ... Tel que je l'ai connu ! Ce qui ne m'empêche pas de saluer la bravoure. Je me suis bien ennuyé à l'exception de quelques cours magistraux du à la qualité des profs bref mais le programme les loudeurs les inutiles et les oublis c'est terrible
    Bref "le mammouth écrase les prouts" et personne sent ! A croire que la machine n'a pas d'odorat ! Juste le cul bien rivé sur son piédestal ...Et comme le penseur de Rodin il n'est pas près de changer de position !!
    A plus

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  48. Un métier bien difficile que de conduire les petits vers l'instruction, je profite de votre bel écrit pour leur dire merci, pour tous les enfants du monde
    Bien à vous
    Oxy

    RépondreSupprimer
  49. c'est pas ça le contrepet c'est mamie écrase les prouts ou... La dame

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  50. La dame ... Prof !
    Nous avons tous ou presque une mémoire rejoignant cette période avec nostalgie ou soulagement ou que sais-je encore ... Vous deviez être exigente ...
    Et vous avez eu de la chance avec la votre !!

    RépondreSupprimer
  51. C'est un vrai plaisir quand on rend hommage à un enseignant
    les arabes disent: " je suis l'esclave de celui qui m'a appris une lettre "
    Merci pour ce regard clément
    Mohamed

    RépondreSupprimer
  52. Fadmirateur
    Merci pour votre com.
    Je pense que la majorité approuverait cette citation de Miterrand
    « Etre enseignant, ce n'est pas un choix de carrière, c'est un choix de vie. »

    RépondreSupprimer
  53. Très émouvant!
    Les institutrices avaient un côté très attachant, elles considéraient leur classe comme un monde à part, aimaient les enfants presque maternellement et offraient un enseignement de qualité car elles avaient presque une vocation pour leur rôle.

    mais je crois que cette école n'existe plus, tout est trop robotisé maintenant, même les décors, même l'enseignement!

    bisous James

    RépondreSupprimer
  54. Colinettejuin 26, 2012

    Je trouve ton poéme magnifique, bien servi par la musique qui l'accompagne sur le parchemin. Trés joli moment...Encore...
    Amitiés

    RépondreSupprimer
  55. Un poème superbe d'émotions James, cette institutrice donnait d'elle et devait beaucoup aimer son métier pour être si appréciée de ses élèves.
    Quel dommage que les institutrices ne soient plus comme cela, elles savaient enseigner les vraies valeurs en plus du savoir;
    Bisous

    RépondreSupprimer
  56. Joli poème avec une fin triste et douteuse à la fois (peut-être libératrice pour elle).
    Félicitations
    Mes amitiés James
    Jean Ioannis Bozikis

    RépondreSupprimer
  57. Patricia-LaTarzannejuin 17, 2013

    -:¦:-___-:¦:-♥-:¦:-___-:¦:-♥-:¦:-___-:¦:-

    "Je n aime pas les gens médiocres
    Je pense que les enfants sont l espoir de l humanité ..."
    - Maria Montesori -

    Ces personnes consacrent leur vie aux enfants ...
    mais elles ne deviennent éternelles qu à travers les souvenirs..

    Merci pour le partage

    Bonsoir à vous et belle soirée

    Patricia

    -:¦:-___-:¦:-♥-:¦:-___-:¦:-♥-:¦:-___-:¦:-

    RépondreSupprimer
  58. très beau
    oui elle aimait tant les enfants

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