La maison sous les arbres
Abrite mille et un vers
En particulier
Ceux qui sustentent la charpente
Par l'abondante nourriture
Qui suinte de ses veines
Dans l’errance de la nuit
Proche ou lointain
Rien n’est à nous
Partageons
Les solitudes partagées
Les joies à portée de mains
Les tristesses passagères
En cet instant immobile
S'inscrit sur la panne faîtière
Un seul mot
Épilogue
De la branche la plus jeune
Jusqu'aux racines les plus profondes
S'écoule une douce mélodie
Aux ombres indomptées
Et dans la couronne de l'olivier
J'entends le cœur d'une colombe
Il est l'heure de s'aimer
J'aime le ton paisible de ce poème
RépondreSupprimerCe temps qui aime
Par l'olivier et la colombe
Merci James !
Oui paisible et très beau... Merci James Px. Il est toujours l'heure de s'aimer !
RépondreSupprimerCycle éternel
James. J'ai apprécié tout particulièrement les derniers vers qui sont vraiment magnifiques.
RépondreSupprimerMerci pour ce partage.
Belle de jour