Qui suis-je ?

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La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.

Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...

« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »

Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »

Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !

Toutes les fautes d'orthographes sont corrigées au fur et à mesure des rencontres... Et toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite

Copyright numéro 00048772-1

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Tous mes poèmes

mardi

Voyage en haut-lieu ... 62°46'39"N

Je contemple le ciel vaste
Je scrute les nuages gris-bleu
Je lorgne le soleil sanglant
Mes pas s'enfoncent et disparaissent dans la mousse
A l'abri du monde connu
Les forêts dansent
Et les montagnes plongent
Je regarde les étendues d'eau douce et salée
Où les fjords pénètrent et se confondent aux lacs
Où les rivières chantent
Où les glaciers pleurent
Et les cascades jaillissent et grondent
Il y a des lieux où l'homme est à la fois peu de chose
Et en même temps le témoin de son existence
Il y a des lieux où tu ne cherches rien
Et pourtant tu reçois sa beauté en plein visage
Il y a des lieux où tu arrives sans énergie
Et tu repars galvanisé sans savoir pourquoi
Ce lieu serait-il alors le monde
Serait-il le foyer du monde ...

jeudi

Aujourd’hui aurais-je dit à la lune que je l’aimais toujours

Après l'orage
Sous un habit subtil et translucide
Habitent mes rêves de reconquêtes
Me voileraient-ils la face
La verticale de mon ascension
Il y a ceux qui voyagent
Et ceux qui restent

Serais-je condamné 
À vous aimer dans l'ombre 
De mes odyssées et pérégrinations

Je me plais sur ce fil
Dessinant une ligne courbe
Tendue entre deux montagnes
Comme l’oiseau de paradis
Chantant avant le grand départ
Pour mieux refuser l’enfer
Comme un drap humide
Attendant les rayons du soleil
Pour sentir cet air frais de la délivrance
Comme un funambule en allégeance
Perché sur son fil d’eau sous l'arc-en-ciel

Danserons-nous jusqu’au retour
De cette escapade nocturne
Où le jour est bleu roi
Sous le fluide de notre premier amour
A l’abri d’une pluie sourde et fine
Ou viendrons-nous nous dire
A l’orée gâchée du petit bois
Où nous étions heureux
Tout est fini
Comme des innocents
Avant le déluge d'un sang-froid

Marchons la tête haute
Sans nous retourner
Et regardons devant nous
Hier le champ nous le contemplions
Vert et tendre
Aujourd’hui la paille jaune rayonne
Pour nous laisser sur place
Sans nous entendre
Sauvons alors cette terre brûlée
D’ocre rouge pour eux pour nous

Ceux qui voyagent laissent des traces
Et ceux qui restent les ramassent
Qui a tort qui a raison
Au cœur de cette menace
Respectons-nous
Et les Dieux du stade de la cité perdue
Sauront compenser nos efforts les plus fous
Arrêtons de nous plaindre
Car nous avons encore la liberté de croire
De bouger de vivre d’aimer de voir
Offrons-nous encore ce rêve
Et à tous ceux qui ne le peuvent pas
Qui ne le peuvent plus

Aujourd’hui 
Aurais-je dit à la lune que je l’aimais toujours

Peu importe la destination du jour
De la lumière de nos vies
Je resterai à l’attendre
Sous l’orage et la pluie
Jusqu’à la nuit

mardi

Citation du jour ...3 août 2010 demain j'ai 44 ans

Le rêve comme la connerie fait partie de la vie ... Ce qu'il faut c'est relativiser la connerie et s'immerger dans nos rêves et de tout faire pour en réaliser quelques uns ... C'est sans doute cela le bonheur !
Traverser une rue sans se faire écraser, faire du saut à l'élastique sans s'écraser et ne pas s'écraser devant celui qui le voudrait bien ...

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