À la lumière du noir, j’ai capturé vos yeux,
Dans l’obscurité, naît notre poésie,
Un souffle commun entre les ombres,
Échos d’un monde en gris, où le désespoir s’impose.
Dans les creux des montagnes, les rêves s’épanouissent,
Les rivières murmurent des hymnes aériens,
Mais au loin, une symphonie troublée,
Des bombes chantent une clarté volée.
Ne me laissez pas, perdu sous cette pluviométrie,
Ne me laissez pas ici, figé dans l’oubli.
J’entends en moi des battements d’ombre,
Une mélodie muette au fond des décombres.
À travers des signaux effacés,
Je tisse des rêves, frénétiques, hallucinés.
Sur les galets polis, l’art de l’inertie s’inscrit,
S’éveille doucement, comme une étoile endormie –
Les alpages dansent au rythme effréné,
Tandis qu’à l’est, l’orage emporte les espoirs égarés.
*
Version 2
À l’ombre de la nuit, tes yeux scintillent,
Dans l’obscurité, notre poésie s’éveille,
Un souffle partagé, murmure des ombres,
Échos d’un monde en gris, où le désespoir plonge.
Dans les creux des montagnes, les rêves s’élancent,
Les rivières chantent des hymnes de chance,
Mais au loin, une symphonie troublée,
Des bombes résonnent, une clarté volée.
Ne me laisse pas, perdu sous cette pluie,
Ne me laisse pas ici, figé dans l’oubli.
J’entends en moi des battements de nuit,
Une mélodie muette, au cœur des débris.
À travers des signaux, effacés, égarés,
Je tisse des rêves, frénétiques, obsédés.
Sur les galets polis, l’art de l’inertie,
S’éveille doucement, comme une étoile endormie.
Les alpages dansent, au rythme effréné,
Tandis qu’à l’est, l’orage emporte nos secrets,
Les espoirs égarés, dans un souffle amer,
Se mêlent aux échos d’un avenir à l’envers.
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