La poésie est une suspension qui éclaire le monde.
Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions.
J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie.
Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante,
Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange
et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable.
Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être.
Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure.
Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Me faire sucer par ma banquière
Avant d'être à découvert
Présider le printemps des poètes
Encouragé par la fleur du mal
Pour m'acharner
Sur les derniers metteur en scène de la cruauté
Promesse
Courage
Les dernières énigmes
S'accrochent aux ailes de ma conquête
À l'origine du monde
Accents poétiques
L'orage s'adresse à moi-même
Artichaut du monde
Ma basse œuvre
Est cet état de désœuvrement infernal
Qui signe la fin de ce vase communiquant
Entre ciel et terre
Mon Dieu par hasard
Un peu d'air
Fuir pour ne pas mourir assassiné
S'emmurer sans renoncer à son destin
S'envoler agir comme un comics
Héros malgré le vent contraire
À l'humour bardé d'un costume flamboyant
Et quelques bulles d'air
Pour soulager l'isolement
Sèchement vécu
Je ne pisserai plus
À Disney Land
Sur la tombe d'Oncle Picsou
Et puis comme ça
Il y aura toi
Héros du jour
Qui sortira de ce corps
Héros malgré toi
Un Forest Gump pongiste antiviral
À la paire de gants en latex
Made in Vietnam
Sans aucun complexe
Tu soigneras tous les handicapés
Du gouvernail et du pinceau
Qui a dit que l'histoire se répétait
Mon amour mate ce monde
Pétrifié et voué à l'échec
Tout ce barbelé qui saigne
Coincé entre les mains des fous du roi
Tous ces cavaliers nés de pions confinés
Qui piétinent nos nuits hate each
Et foulent nos aurores boréales
Adoube toute cette inconscience qui s'affiche
Pour qu'elle réfléchisse face à l'argent
Qui pourrit sous l'or du soleil
Déroque toute cette imprudence
Qui gangrène les coups les plus olympiens
Ô toi mon amour ce soir
Sur l'échiquier envahi
Tu seras mon échec et mat
Pour mourir dans mes bras
Avec tes veines chlorophylles
Ta chevelure sanguine et tes yeux perçants
Tu m'interrogeras sur la direction à suivre
Là
Au cœur de la clairière des songes
À la mousse spongieuse
Où mes pieds se perdent et se confondent
À la nature initiale
Celle qui nous pousse à reconquérir le monde
Et ses trésors disparus
Aimons-nous les surprises
Aimons le temps des cerises
Petit lexique
Éther gifrer : une solution pour application cutanée
Alcaliner : mot inventé pour dire qu'une pile tant qu'elle fonctionne on l'aime ensuite on la balance comme si... Dans la nature.
² extrait d'une chanson Born to Be Wild de Steppenwolf
hate each : désaimer
Adouber : Signifie ajuster une pièce sur sa case sans avoir l'intention de la jouer. Le joueur déclare alors j'adoube afin d'éviter toute ambiguïté avec la règle : toute pièce touchée doit être jouée
Déroquer : enlever à l'adversaire la possibilité d'effectuer le roque en forçant à bouger son roi ou une tour
Voilà deux extraits pour une même poésie, qui embrassent un large champs, que sont ces fragments d’innocences. J'ai goûté à la tendresse de l'un et à l'exaspération de l'autre. Des moments de contemplation et d'exaltation. Des humeurs pondérées ou emportées. Une vie, en somme! Je n'ai plus de cœur, je repasserai.
Entre chaque libellule, un poème. Vous aimez les thèmes et les musiques, l'alliance des arts.
Né pour être sauvage Faut-il murmurer des mensonges Putain j'aurais voulu être un paysan A l'origine du monde A l'humour bordé d'un costume flamboyant Coincé entre les mains des fous du roi Là
J'ai un faible pour jackson pollock... Sur la route jamais lu ni aucun autre... les années se suivent se figent s'oublient reviennent au fil de nos états d'âmes au travers de nos sociétés... mais quel est ce dénominateur commun entre toutes les générations... j'ai lu l'art d'aimer d'Ovide il me semble qu'il a des idées très contemporaine... Alors je cherche je trouve je perds je vis...
Je fais mien ce commentaire car j'ai aussi pensé à la beat generation. Votre poème fait preuve d'une belle inventivité qui fait de cette lecture un moment particulièrement jouissif.
le propre de l'homme est la recherche de son bien être... les chemins sont divers certains se contentent de peu d'autres veulent tout... tendons vers le juste milieu avant que... le milieu n'est ni moins ni plus c'est consommer ou consumer mieux.
Plus tu confines plus tu muris
RépondreSupprimerLes cerises vont avoir du soucis...
En attendant les clafoutis...
SupprimerVoilà deux extraits pour une même poésie, qui embrassent un large champs, que sont ces fragments d’innocences. J'ai goûté à la tendresse de l'un et à l'exaspération de l'autre. Des moments de contemplation et d'exaltation. Des humeurs pondérées ou emportées. Une vie, en somme! Je n'ai plus de cœur, je repasserai.
RépondreSupprimerSi vous ne repassez pas je ne serai pas froissé
SupprimerC'est une vérité implacable. Vous avez un vrai univers poétique. Pour terminer, je suis en communion avec la dernière strophe de votre texte.
RépondreSupprimerSi tu présentes bien tu concluras...
SupprimerEntre chaque libellule, un poème. Vous aimez les thèmes et les musiques, l'alliance des arts.
RépondreSupprimerNé pour être sauvage
Faut-il murmurer des mensonges
Putain j'aurais voulu être un paysan
A l'origine du monde
A l'humour bordé d'un costume flamboyant
Coincé entre les mains des fous du roi
Là
J'aime la vie sur terre dans l'eau le ciel... Ailleurs
SupprimerOn voit tant et puis on ne voit rien,
RépondreSupprimerAveuglé par l'amour, par la haine
La connaissance tient la paupière
L'ignorance les dévore,
Et puis tout ces premiers pas, ces extraits d'êtres,
Pour finir par mourir, peut être.
J'ai adoré chacuns de tes fragments tantôt me mirant, tantôt cherchant dans le trouble et passant de l'un à l'autre puis revenant ,
Ces fragments qui forment un entier où cependant tant d'autres peuvent s'unir.merci.
L'unisson est un souffle sur lequel on s'accroche
Supprimerla bouche grande ouverte
Tout ne s'avale pas
Un monde réinventé, création d'un style unique, quel beau rythme!
RépondreSupprimerchacun peut inventer ce qu'il souhaite c'est une question d'énergie
SupprimerVous nous rendez paysan pour arpenter vos champs poétiques et nous faire sauter leurs haies d'où des oiseaux s'envolent.
RépondreSupprimerbucolique lorsqu'il y a matière à travers les mailles du filet de la vie pourquoi s'en priver...
Supprimerj'adore les libellules, le reste est un décor sublimé par une écriture et un art originaux, une signature!
RépondreSupprimerchapeau bas
nature... Je suis là malgré tout ce que l'on me fait subir...
SupprimerCe tourbillon d'images où se mêlent fantasmagories et événemenst me rappelle la poésie de la beat generation! Merci du partage
RépondreSupprimerJ'ai un faible pour jackson pollock... Sur la route jamais lu ni aucun autre... les années se suivent se figent s'oublient reviennent au fil de nos états d'âmes au travers de nos sociétés... mais quel est ce dénominateur commun entre toutes les générations... j'ai lu l'art d'aimer d'Ovide il me semble qu'il a des idées très contemporaine... Alors je cherche je trouve je perds je vis...
SupprimerJe fais mien ce commentaire car j'ai aussi pensé à la beat generation.
RépondreSupprimerVotre poème fait preuve d'une belle inventivité qui fait de cette lecture un moment particulièrement jouissif.
voilà un dénominateur commun la jouissance... n'est-ce pas une fin recherchée de tout Homme.
SupprimerL'écriture libertaire ne se soumet à aucune règle que sa propre audace, que son propre bonheur et que sa propre ironie.
RépondreSupprimerle propre de l'homme est la recherche de son bien être... les chemins sont divers certains se contentent de peu d'autres veulent tout... tendons vers le juste milieu avant que... le milieu n'est ni moins ni plus c'est consommer ou consumer mieux.
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