La poésie est une suspension qui éclaire le monde.
Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions.
J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie.
Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante,
Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange
et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable.
Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être.
Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure.
Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Libellule aux quatre ailes, ton moteur unique, elle vole d'un poème à l'autre, séquences inséparables. Le premier, le nombre d'or est là, le second, un filament amoureux, le troisième, l'éphémère papillon a des effets insoupçonnés, le quatrième, l'inconnue tend ses bras, le cinquième, la provocation qui touche.
Presque toute ma poésie découle de mes sentiments que j'éprouve que je vis... et je les mélange à la généralité qui nous entoure, avec des visages de chacun de nous peut reconnaître ... Puisque l'un ne peut pas vivre sans l'autre ou tout du moins exister... je te remercie pour ton analyse intégrale...
ah ah Px tu pars de la géométrie invariable tu passes par l'amour la métaphore et tu finis par l'absence de géométrie l'orthogasmie qui est un envol de parallélisme dans l'espace mais comme tu le sais je ne comprends jamais rien à tes écrits mais c'est beau quand même où vas-tu chercher tout ça j'écoute Heav'n
marinette... oui tu prends mieux que moi tout est possible moi, par exemple et je ne suis pas le seul lorsque je lis "le bateau ivre" sans faire de parallélisme je n'y comprends rien sauf que je me noie sous le ponton sas prendre aucun psychotrope...
Merci pour ton soutien vertical du coup je reste debout
Il y a de la vie dans ce poème, je dirais qu'il laisse transparaître des images très intimes tout en me laissant un certain goût de détachement, comme des images jetées çà et là telle une impression sans ordre ni hiérarchie.
Cette absence de fil conducteur tenace est surprenante, or je n'ai pas trouvé qu'elle allait non plus dans le sens de l'insignifiance ; je dirais plutôt que les sentiments sont à nu sans logique ni raisons d'être. Cela donne un tableau du fauvisme avec ses couleurs les plus spontanées, son rendu aux tendances contradictoires.
En 24 heures Il s'en passe des choses Tantôt acteur Tantôt spectateur Tantôt à l'ouest Toutes ces heures N'appartiennent pas à l'insignifiant Mais à ta capacité d'être... De plus le titre indique Séquences inséparables
je ne perdrai pas mon temps à commenter j'ai lu une première fois j'ai aimé, des échos, ça m'a parlé, je me suis fait mon histoire, j'ai imaginé le poète, femme pour qui l'âge… qui aime en corps une femme… le beau, l'art, un poème visuel pour moi, sensuel, violent, désabusé les images m'ont parlé (je ne dirai pas ce qu'elles m'ont dit) j'ai eu envie de relire, dans le texte des mots que je ne connaissais pas.
je me serais arrêtée à "sensation orthogasmique"
je suis repartie voir d'autres écrits, contributions, Evenos… je sais que vous me touchez, que vous êtes un homme, je crois que j'aime vous lire.
Libellule : "dragonfly" en anglais : éphémère et carnivore
Un sublime écrit plaisant à lire, un texte d'espoir qui dépeint les épreuves du temps de la vie, la peur, la trahison, l'amour, la passion vertigineuse, au porte de l'enfer. si mon interprétation est bonne. de beau vers, des phrases ciselées. Bonne soirée à vous
Je suis ravi que vous ayez apprécié le poème. La poésie est une forme d'expression qui me permet de jouer avec les mots et de capturer des émotions et des images d'une manière unique.
Kénophobe à fleur d'Hélénie, Immortel amour, N'aie plus rien à craindre En lisière de mes rêves Où rôdent les cauchemars. Je suis cet animal efféminé Qui conserve l'éphémère papillon. Je bois l'eau de nos peurs Par-dessus les loups Des pensées qui décrivent Des mains fermes de jalousie.
Des fois...la peur du noir est seulement dans les rêves cauchemars...
Heureux que malgré la densité du texte, vous ayez apprécié son rythme et son flux. Parfois, la poésie peut être comme un voyage à travers un paysage sinueux, où chaque ligne offre une nouvelle découverte. Merci d'avoir partagé votre expérience avec moi
J'ai particulièrement aimé ce poème d'un éternel amour avec des mots tendres et à la fois mystérieux mais qui ont effleurés ma nature sensible. Une musique qui a parfaitement enjolivé ce poème, bien choisie. Bien amicalement ODE Belle écriture
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RépondreSupprimerMerci
SupprimerBonjour James et merci pour ce poème en miroir. Je reste en admiration devant votre grande inspiration.
RépondreSupprimerAmitiés et bravo.
expiration inspiration c'est le cœur qui parle...
Supprimermerci
Chapeau chapeau...
RépondreSupprimerChapi chapo
Supprimerchapi chapo
SupprimerC est une journée extra ordinaire
RépondreSupprimerMerci James
Libellule aux quatre ailes, ton moteur unique, elle vole d'un poème à l'autre, séquences inséparables. Le premier, le nombre d'or est là, le second, un filament amoureux, le troisième, l'éphémère papillon a des effets insoupçonnés, le quatrième, l'inconnue tend ses bras, le cinquième, la provocation qui touche.
RépondreSupprimerVous avez le don de clarifier mes idées 😀merci
SupprimerUne bien jolie composition, vous ne manquez pas d'imagination Evenos ��
RépondreSupprimerl'imagination est le propre du poète. merci
SupprimerUn travail d'écriture remarquable. Une imagination poétique talentueuse. Une petite libellule pour guide !
RépondreSupprimerMa libellule vous remercie et moi aussi.
SupprimerJ'ai aimé, point barre, comme on dit par chez nous. Et hop ! un coeur.
RépondreSupprimerJe vous avais oublié... vais-je finir à la barre... merci
SupprimerChaque paragraphe constitue un poème qui supporterait d’être isolé .
RépondreSupprimerjoli travail de présentation.
merci pour vos compliments... je continue.
SupprimerUn très bon moment de poésie sur le site. Bravo à vous, ami poète.
RépondreSupprimerMerci à vous et je continue...
SupprimerJe retrouve ça et là des petits vers-papillon venus butiner ici.
RépondreSupprimerDes petites choses que tu attrapes au fur et à mesure et qui sont sculptées pour s'intégrer d'oeuvre en oeuvre.
Pour certaines j'en perçois l'origine pour d'autres la part du songe apporte une poésie d'une grande beauté.
Merci.
Merci pour avoir vu pour m'avoir lu et peut être plus...
SupprimerPresque toute ma poésie découle de mes sentiments que j'éprouve que je vis... et je les mélange à la généralité qui nous entoure, avec des visages de chacun de nous peut reconnaître ... Puisque l'un ne peut pas vivre sans l'autre ou tout du moins exister... je te remercie pour ton analyse intégrale...
SupprimerJ'aime bien le jeu de mot et les images... Beau poème.
RépondreSupprimerAs... merci pour la lecture déjà et pour votre commentaire ça fait plaisir
Supprimerah ah Px tu pars de la géométrie invariable
RépondreSupprimertu passes par l'amour la métaphore
et tu finis par l'absence de géométrie
l'orthogasmie
qui est un envol de parallélisme dans l'espace
mais comme tu le sais je ne comprends jamais rien à tes écrits
mais c'est beau quand même
où vas-tu chercher tout ça
j'écoute Heav'n
marinette... oui tu prends mieux que moi tout est possible moi, par exemple et je ne suis pas le seul lorsque je lis "le bateau ivre" sans faire de parallélisme je n'y comprends rien sauf que je me noie sous le ponton sas prendre aucun psychotrope...
SupprimerMerci pour ton soutien vertical du coup je reste debout
Il y a de la vie dans ce poème, je dirais qu'il laisse transparaître des images très intimes tout en me laissant un certain goût de détachement, comme des images jetées çà et là telle une impression sans ordre ni hiérarchie.
RépondreSupprimerCette absence de fil conducteur tenace est surprenante, or je n'ai pas trouvé qu'elle allait non plus dans le sens de l'insignifiance ; je dirais plutôt que les sentiments sont à nu sans logique ni raisons d'être. Cela donne un tableau du fauvisme avec ses couleurs les plus spontanées, son rendu aux tendances contradictoires.
Merci à toi pour cette lecture.
En 24 heures
SupprimerIl s'en passe des choses
Tantôt acteur
Tantôt spectateur
Tantôt à l'ouest
Toutes ces heures
N'appartiennent pas à l'insignifiant
Mais à ta capacité d'être...
De plus le titre indique
Séquences inséparables
je ne perdrai pas mon temps à commenter
RépondreSupprimerj'ai lu une première fois j'ai aimé, des échos, ça m'a parlé, je me suis fait mon histoire, j'ai imaginé le poète, femme pour qui l'âge… qui aime en corps une femme…
le beau, l'art, un poème visuel pour moi, sensuel, violent, désabusé
les images m'ont parlé (je ne dirai pas ce qu'elles m'ont dit)
j'ai eu envie de relire, dans le texte des mots que je ne connaissais pas.
je me serais arrêtée à "sensation orthogasmique"
je suis repartie voir d'autres écrits, contributions, Evenos…
je sais que vous me touchez, que vous êtes un homme, je crois que j'aime vous lire.
Libellule : "dragonfly" en anglais : éphémère et carnivore
Ne pas perdre son temps pour commenter c'est un bon point...
SupprimerLe reste est la réponse que j'attendais.
Merci
Un sublime écrit plaisant à lire, un texte d'espoir qui dépeint les épreuves du temps de la vie, la peur, la trahison, l'amour, la passion vertigineuse, au porte de l'enfer.
RépondreSupprimersi mon interprétation est bonne.
de beau vers, des phrases ciselées.
Bonne soirée à vous
J'ai trouvé votre poème splendide.
RépondreSupprimerQuelle maîtrise vous avez de votre poésie !
Un beau souffle aussi !
poétiquement.
SupprimerJe suis ravi que vous ayez apprécié le poème. La poésie est une forme d'expression qui me permet de jouer avec les mots et de capturer des émotions et des images d'une manière unique.
Kénophobe à fleur d'Hélénie,
RépondreSupprimerImmortel amour,
N'aie plus rien à craindre
En lisière de mes rêves
Où rôdent les cauchemars.
Je suis cet animal efféminé
Qui conserve l'éphémère papillon.
Je bois l'eau de nos peurs
Par-dessus les loups
Des pensées qui décrivent
Des mains fermes de jalousie.
Des fois...la peur du noir est seulement dans les rêves cauchemars...
Dans les rêves noirs, les ombres s'animent, terrifiantes,
SupprimerMais à l'aube, la lumière dissipe les craintes, éclatante.
Je n'ai probablement pas tout percuté mais un texte foisonnant, une succession "d'entrelignes" que j'ai aimé parcourir !
RépondreSupprimerYvon de lpdp
Heureux que malgré la densité du texte, vous ayez apprécié son rythme et son flux.
SupprimerParfois, la poésie peut être comme un voyage à travers un paysage sinueux, où chaque ligne offre une nouvelle découverte.
Merci d'avoir partagé votre expérience avec moi
J'ai particulièrement aimé ce poème d'un éternel amour avec des mots tendres et à la fois mystérieux mais qui ont effleurés ma nature sensible. Une musique qui a parfaitement enjolivé ce poème, bien choisie.
RépondreSupprimerBien amicalement ODE
Belle écriture