Disparaissent
Remontons la pente à pieds
Sans regrets ni peines
Pour mieux dévaler
Le relief tumultueux de nos amours
L'arbuste en contre-jour
Le vent des cimes me balaie le front
Et mes mains gelées sont prises
D'une dernière obscénité
À quoi pouvez-vous penser
À un homme poète
Verbe des montagnes ou de rue
Et brut est d'assurer
Au gland d'hélice
Et aux icônes en cuivre
Je suis tellement immoral
Mon Dieu
« Un juste qui se laisse ébranler »²
Comme ces remords de renaissance
Je ne passerai pas toute une vie
Servile et insensé
En attente d'une érection
Pour vous honorer
Ô jolies fesses
À l'heure où les tire-fesses
Disparaissent
Remontons la pente à pieds
Sans regrets ni peines
Pour mieux dévaler
Le relief tumultueux de nos amours
L'arbuste en contre-jour
Le titre m'avait déjà conquis avant même la lecture
RépondreSupprimerJ'ai lu avec un petit sourire coupable ce poème qui m'a donné le sourire
Et cela fait du bien
Naliwe lewan... Je m'en doute par le temps qui ne court plus
SupprimerLes fesses sont absentes du cadran solaire et des bars à thym
Une infusion j'ai la gorge en apnée
Merci
Je connais "un peu" cette écritur mais ce poeme demande plusieurs lectures pour saisir plus.Je suis un parcours et un manque qui n'est juste celui de belles rondeurs et de seins patrons mais avant tout la distance avec le féminin et toute sa complexitè qui complete et fait poèsie dans cette vie.Bises
RépondreSupprimerHello de retour... oui tout est compliqué dans la vie sauf la mort d'ailleurs personne ne revient pour dire le contraire
SupprimerTu as mal à la gorge
SupprimerC'est que tu ne peux pas hurler
Gueule un bon coup
Je vais essayer
Supprimermais les ouies ne dorment pas loin
Vais-je lui couper la tête
Ou une oreille
Dit Vincent
la gauche ou la droite
En fait je vois que tu mêles adroitement
RépondreSupprimerL'image réel de tes pensées intimes et à un sens plus sublimé
Tu vois je n'arrive plus à m'exprimer
Donc tu devales la pente sans tire-fesses au moment
Ou ton amour dégringole avec tes illusions
Non tu n'y peux rien alors rentre et médite
Sur ton impuissance à changer le cours
De la vie amoureuse comme les joies du tire-fesses
Fais du ski sur ton fauteuil
Marinette... merci capitaine Marleau vous tenez la bonne perche
SupprimerMerci bisous
De la part de marinette
RépondreSupprimerLe peintre maudit
Un homme peint dans le grand vent
Des yeux de fou sous un front triste
Soudain un coup de feu
Du sang dans le blé jaune
Il manquait alentour
cette couleur du sang
L’homme est mort dans la nuit
On l’appelait Vincent
J’ai oublié son nom.
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RépondreSupprimerAh j'avais manqué la dernière piste...
RépondreSupprimerEn évitant les pierres l'herbe et la glace...
Si tendre la vallée s'y répandre
RépondreSupprimerdans cette prouesse à la saveur de promesse
ne rien promettre évite de se morde les oreilles
Supprimer« .;-)) »
RépondreSupprimersigne cannibalistique
Supprimer« Joli »
RépondreSupprimerlaitue
SupprimerSuperbe image toute en volupté.
RépondreSupprimerJ'adore.
Merci beaucoup
De jolis mots à double "sens", pensées légères tout en finesse
RépondreSupprimerMagnifique et subtil.
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