À l'aube de l'éclosion
Blanche est sa chevelure
Comme ses mains assassines
Le temps a laissé ses traces
Effacé les cœurs
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Brrr! impressionnant et intense! des vers courts qui cisèlent au couteau ce portrait
RépondreSupprimerj'adore!
Un portrait tellement humain justement qu'il en donne la chair de poule devant son intensité et sa profonde souffrance.
RépondreSupprimerj'aime beaucoup.
déni de grossesse
RépondreSupprimerfolie
meurtre
congélateur
Merci James pour ce partage d'un sujet grave
RépondreSupprimerOn donne la vie et on tue
Comment comprendre l'impossible
Un jour on aime ,un autre on hait
Douce soirée à toi
Amitié
A
un défi dans lequel tu ne perds pas ton identité textuelle !
RépondreSupprimerTrès expressionniste
RépondreSupprimerForce et émotion
défi magistralement relevé
dans la douleur
Amicalement
Ferhat
Ces mots sont beaux comme la brillance de l'étang gelé...
RépondreSupprimerComment comprendre la folie, la vraie !
Ou l'être ne connaît plus la limite entre soi et les autres et supprime ce qu'il pense reconnaître comme des mauvais morceaux de lui même ?
C'est ce qui me vient et il y a surement d'autres façons de voir - merci + jamesPX
L'Homme est complexe mais est-ce que l'erreur est toujours humain... J'en doute !
SupprimerDéroutant, mais j'aime bien.
RépondreSupprimerQuand on a peur ça réconforte j'imagine de faire justement ce qui est tabou...
SupprimerMagnifique!
RépondreSupprimerLe titre embrouille
RépondreSupprimerPierre
merci pour ce poème
RépondreSupprimerVote
Amicalement et bonne fin d'am
G.
En vous lisant sur cela , j' entrevois une phrase dans un autre de vos textes : " J'aime le partage pour tout ce que j'ai fait de mal comme de bien , je vous remercie car ce n'est pas grâce à votre aide que j'ai pû être utile aux autres , c'est grâce à quelque chose , je la cherche"
RépondreSupprimerSi le sens reste pour moi mystérieux, j'ai pris plaisir à lire ce poème à haute voix tant les mots s'enchaînent dans une harmonie agréable.
RépondreSupprimerMerci
Supprimerl'harmonie n'est pas le sujet elle camoufle juste l'horreur ou la stupéfaction
J'ai lu et relu ton poème pour bien m'imprégner des mots
RépondreSupprimerIl y a
- le bouillon du sang qui peut passer du rouge vif au bleu/noir
- Un certaine froideur comme déshabillée de sentiments manqués
- Une solitude pesante
- Un être qui cherche
- Un paysage qui peut enchanter comme créer une terreur
Un poème qui file aux travers du temps comme pour revoir sa naissance.
J'aime ce qui s'en dégage et je rajoute que l'image est toujours aussi bien choisie.
Merci de ce partage.
sans contraintes
Supprimeril n'y a pas de dialogue
sans retenue
il n'y a pas de poésie
sans contraintes
Supprimeril n'y a pas de dialogue
sans retenue
il n'y a pas de poésie
Ouah, la vache !
RépondreSupprimerJ'ai l'impression de lire une partie de mon "être mental" dévoilé, c'est très étrange.
En tous cas, beaucoup de sentiments, je suis fan !
Merci James !
Chère James.
RépondreSupprimerComprend pas tout mais qu'importe car le texte est fort.
Et surtout l'ensemble avec le traitement graphique est une belle oeuvre.
(Halte au trafic des Reborn Razz )
Ton poème me fait penser à l'hiver, ce long trimestre qui nous offre ses engelures, qui nous bleuit et nous rougit la peau. Ce temps qui met au repos la nature pour mieux éclore au printemps. Cette période où le jour se fait rare au profit d'une nuit qui emporte avec elle les sans abris. Très beau et intense.
RépondreSupprimerUne blancheur spectrale. Après avoir lu ton poème, on y revient, on le relit...
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SupprimerUne impression laisse des traces comme la rouille sur le fer
il faut passer régulièrement une couche de Rustol pour freiner la rouille...
apolline a noté Paranoïa.
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