Ni de dresseur de lune
Juste un apparatchik
Au bout du pont
Toute voie cherche la liberté
Dépeint ses ecchymoses
Où intrigues et abandons
Ont recouvert de lichen
Sentirais-je l'incarcération
Attendrait-elle la communion
Brûlante à l'agonie
D'un bouquet de mémoire
Comme une abeille
Dans une nature
Où il n'y a plus de fleurs
Ni de ruches écarlates
Juste une tour sans fenêtre
Au bout du champ des morts
Toute voix cherche la prière
Balaie ses cauchemars
Où anges et démons
Ont découvert le ciel
Si loin si proche de nous
Votre poème est hors de tout, je l'aime beaucoup,il m'intrigue et me touche à la fois
RépondreSupprimerTu as raison galerion
SupprimerJames comme tu es en pleine émotion du présent
Et comme tu le dis bien
Pour moi c'est comme une naissance
Tu as laissé le superflu
voilà juste l'essentiel
Supprimerformidable
une tour sans fenêtre
au bout du champ des morts
L'essentiel n'est pas toujours acquis
Supprimerne faut-il pas se débattre
pour sortir la tête de l'eau
une journée de sueur
pour une minute de bonheur
voilà la vie
la vraie sans doute
hors sujet
quoique
Galerion... Tout est là.
SupprimerViolette... le superflu est souvent la goutte qui fait déborder le vase
SupprimerIntriguée et touchée par ce très beau poème et bousculée par la musique de Max Richter ... merci James ,amitiés et belle journée.
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RépondreSupprimera attribué +1 : Hors du temps
superbe
RépondreSupprimercomme d'habitude
amicalement
Un grand merci à toi
SupprimerÀ plus...
Il est donné au temps que la valeur de notre espace,......Car le temps n'existe point en soi.
RépondreSupprimerDu monde réel vers l'inconnu nous cherchons à franchir l'interface,
Celui qui nous permettrait peut-être d'atteindre l'apothéose d'un autre espace,
Mais n'est-ce point utopie toute humaine que de croire en une possibilité de métamorphose?
Amicalement.....Yves.
À mon sens
SupprimerLa métamorphose est l'essence propre du poète
Il ne cherche pas à l'être (dans un autre espace)
Il ouvre juste des portes
Le temps est un état d'esprit
Il nous rajeunit ou vieillit
Tout dépend justement de notre métamorphose du jour
Chrysalide où es-tu
Des images très fortes dans ce poème d'une rare intensité !
RépondreSupprimerCéline
L'âme vaisseau du temps et de l'espace. Où la vie n'est qu'un intermède
RépondreSupprimersinge vert... Valse du verbe et jeux des mots. Christian Castelli
SupprimerLes deux dernières strophes tout simplement superbe
RépondreSupprimerJacou... bien finir est plus sain...
Supprimera attribué +1 : Hors du temps
RépondreSupprimera attribué +1 : Hors du temps
RépondreSupprimera attribué +1 : Hors du temps
RépondreSupprimerJ'aime...
RépondreSupprimerY a-t-il, hors du temps, moins de frayeur que dedans ?
Madykissine... Il faudrait avoir la clé... à défaut imaginons
Supprimer« Phonétique et symphonique. »
RépondreSupprimerTout est suite et renouvellement
SupprimerA attribué +1 : Hors du temps
RépondreSupprimera attribué +1 : Hors du temps
RépondreSupprimerAu-delà du temps plus rien ne compte vraiment. Tout semble plus subjectif quand le facteur temps n a plus la première place.
RépondreSupprimerLa liberté et ses combats menés sont relatifs au facteur temps.
J aime beaucoup
a attribué +1 : Hors du temps
RépondreSupprimerJe suis contente de te lire à nouveau. ce poème est super. Ce n'est pas mon préféré de toi mais il est très bon.
RépondreSupprimerEn poésie, comme pour la musique, il y a des fois juste à se taire et à écouter.... C'est comme ça que je j'apprécie les choses qui me plaisent. C'est à dire, ma plume rassasiée, n'a pas besoin de s'engager, juste à écouter. Ce que je dis peut être un vibrant hommage pour ce poème, les seuls mots pour décrire ce que je ressens. A l'avenir, j'aurais une pensée pour ceux dont la plume souffle un vent de poésie.
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