Comme la pizza de Naples
Qui entre au patrimoine
Immatériel de l'humanité
Comme un plat de spaghettis
Avec une serviette autour du coup
Pour essuyer tes larmes
Avant de te pendre virtuellement
De perdre tout intérêt pour l'autre
La muse ça s’expose
C'est une question de niveau
Celui sous lequel vit le monde
Minuscule des sensibles et des fragiles
Celui là même qui t'attend
Franchir le pas sans pensée
Pour prendre la lumière
Avant que la neige en deuil
Te paralyse d'aigreur
La beauté ça se diffuse
Il y a les mots en trop
Qui encombrent ton écran
Les mots disparus des grands-parents
Il y a ce manquement de la langue
Qui efface ton féminin
Il y a ces juments vertes
Celles qui ont brisé le silence
Et t'ont métamorphosé en libellule
Bonjour james
RépondreSupprimerEn insultes je connais bouffe ta race ! Qui chez les gitans se traduit par bouffe tes morts, la pire des insultes !
Mais en compliment bouffe ta race, c'est juste magnifique.
Merci pour ce mots...
Masha... bon appétit
Supprimermerci james
RépondreSupprimerMarinette... Le plus dur est de dire non
Supprimerj'aime bien
RépondreSupprimerGalerion... moi aussi
SupprimerBella questa metafora che usi complimenti per i tuoi scritti
RépondreSupprimerTi auguro di trascorrere un Buon fine settimana James
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RépondreSupprimerLouve a noté Cadence.
RépondreSupprimerAurore Rodi (Ancienne Alice Gauguin) a noté Cadence.
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RépondreSupprimera attribué +1 : Influx
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RépondreSupprimerque mangent-on dans tes verres ou s'écroule la verve verte des juments à la libellule
RépondreSupprimerbien joli
Le diable n'est jamais loin... (suite)
SupprimerC 'est pas ce que j'ai écrit , c'est décevant !
RépondreSupprimerPas vous James !
Désolé mais vous avez la mémoire courte
SupprimerJ’aime vraiment ta façon de jouer avec les mots et de les transformer en acteurs délicats pour décrire la vie
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