La poésie est une suspension qui éclaire le monde.
Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions.
J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie.
Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante,
Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange
et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable.
Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être.
Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure.
Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Les vingt-cinq nombres premiers inférieurs à 100 sont : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 79, 83, 89, et 97 je vous laisse la suite devant la fenêtre.
Ténébreuse mathé-matheuse aguicheuse en cortex, improbable et délicieuse l'équabombe neurone, présage, imagine, additionne. Son équacharme sur podium tourbillonne du vortex. C'est là que je l'ai perdu éperdu mon mathé-matheux boutonneux. Lui, cérébré en quantité, célèbre l'identité, il s'éclate isolé, envolé presque numérisé. Fou d'amour sans solution. (Leon-hard sa toute belle au tableau s'envoie Euler) Un miracle taquine son corps. Il s'affole calculator, elle s'affale fantomatique. Spasmes, et sueurs froides. Alors dégringole irrésolue la virgule d'un presque entier envoûté. Il'peut'plus dormir, son trop d'plaisir l'arithmétise dans son algèbre. L'kamasutré bien compté synapse la matière grise. l'équation lascive s'enlise, s'analyse, suscite et le libère de son emprise. Mon mathé-maton perd ses boutons.
Sinon...
J'connais mes tables de multiplications ... Trop limite à son goût J'ai pas l'QI sexy ? Et puis j'compte sur mes doigts, des opérations au carré des Racines d'Andromaque, et même des p'tits bourrelets sur mes vers de scholiastes, dessinant à la craie, fort bien, une formule d'entêtée sur la fuite de ses idées qui nous divise à la décimale prés. Tandis que nos coeurs factorisent l'amour résolu ; À corps perdu.
Un deux trois... Nous irons aux bois. Quatre cinq six... Cueillir des cerises. Constante, qu'on se tente. Exponen...ciel, en septième sauvegarde. En revanche... J'reprendrai bien des chiffres. Il pleut dehors ! Comptons donc. L'un pour l'autre ? L'un sur l'autre ? Quand l'un dans l'autre, les choses sont parfois ce qu'elles ont l'air d'être.
Aînée gît sur une île dans un gîte dans une boîte au bord d'un abîme sans être le maître du cloître savoure une dernière huître... bon et voir la suite chez s'entraîner pour maîtriser le sublime lol j'y suis avec mon ouvre-boîte
J'ai bien aimé à partir de " il y a une fenêtre ouverte ....." Qui m'a fait voir et entendre Debussy, une jolie toile , une douce musique... Merci pour le voyage
Oh MarieL, mon petit rayon de soleil,comme me manquent tes mots ,surtout en cette période de confinement, je t' embrasse fort , prends soin de toi et des tiens Estaile
Je m'éthernise...par la fenêtre l'envol s'est bien passé, Kundera était passager. Ne pas retourner chez les faibles lui dit-il d'un pas sage entre les lignes. L'arbre forgé perd des feuilles d'eucalyptus pour les Koalas oubliés.Merci pour la laitue!
Merci pour votre message... Le vent est froid mais léger... l'hiver caresse encore les oliviers, le ciel se voile... Mais c'est dimanche et je suis redevenu amoureux !
James, quelle profondeur et quel art sommeillent en vous : ce poème est magnifique de bout en bout. Je ne pouvais pas vous rater ! Bravo !
RépondreSupprimerje le connais
RépondreSupprimeril est très beau
une fenêtre un poème et un arbre
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerLes vingt-cinq nombres premiers inférieurs à 100 sont : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 79, 83, 89, et 97 je vous laisse la suite devant la fenêtre.
Supprimereiπ + 1 = 0
SupprimerPréliminaire du XVIIIième siècle...
Ténébreuse mathé-matheuse
aguicheuse en cortex,
improbable et délicieuse
l'équabombe neurone,
présage, imagine, additionne.
Son équacharme sur podium
tourbillonne du vortex.
C'est là
que je l'ai perdu
éperdu
mon mathé-matheux boutonneux.
Lui, cérébré en quantité,
célèbre l'identité,
il s'éclate
isolé, envolé
presque numérisé.
Fou d'amour sans solution.
(Leon-hard sa toute belle
au tableau s'envoie Euler)
Un miracle taquine son corps.
Il s'affole calculator,
elle s'affale fantomatique.
Spasmes,
et sueurs froides.
Alors dégringole irrésolue
la virgule d'un presque entier
envoûté.
Il'peut'plus dormir,
son trop d'plaisir l'arithmétise dans son algèbre.
L'kamasutré bien compté
synapse la matière grise.
l'équation lascive
s'enlise, s'analyse,
suscite
et le libère de son emprise.
Mon mathé-maton perd ses boutons.
Sinon...
J'connais mes tables de multiplications
... Trop limite
à son goût
J'ai pas l'QI sexy ?
Et puis j'compte sur mes doigts,
des opérations au carré
des Racines d'Andromaque,
et même des p'tits bourrelets
sur mes vers de scholiastes,
dessinant à la craie,
fort bien, une formule d'entêtée
sur la fuite de ses idées
qui nous divise à la décimale prés.
Tandis que nos coeurs factorisent
l'amour résolu ;
À corps perdu.
Un deux trois...
Nous irons aux bois.
Quatre cinq six...
Cueillir des cerises.
Constante,
qu'on se tente.
Exponen...ciel,
en septième sauvegarde.
En revanche...
J'reprendrai bien des chiffres.
Il pleut dehors !
Comptons donc.
L'un pour l'autre ?
L'un sur l'autre ?
Quand l'un dans l'autre,
les choses sont parfois ce qu'elles ont l'air d'être.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerAînée gît sur une île dans un gîte dans une boîte au bord d'un abîme sans être le maître du cloître savoure une dernière huître... bon et voir la suite chez s'entraîner pour maîtriser le sublime lol j'y suis avec mon ouvre-boîte
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerSans bruit ni odeur ni lufthansa
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RépondreSupprimer« Une perle d'érotisme... »
Louve a eu un coup de cœur pour D'une fenêtre à l'autre.
Supprimerun peu de piment et de douceur dans un monde qui redevient pudibond et violent
Supprimer« L'insoutenable légèreté de l'être... »
RépondreSupprimerJ'adore la musique du film et l'auteur du livre
SupprimerJoli partage
RépondreSupprimerJ'ai bien aimé à partir de " il y a une fenêtre ouverte ....."
RépondreSupprimerQui m'a fait voir et entendre Debussy, une jolie toile , une douce musique...
Merci pour le voyage
Les derniers vers après la bataille...
Supprimerà plus anonimous
Bin, j'aimerais pas qu'ils me grisent
SupprimerVos petits verres à pieds
D'une ville de Venise
En séchant mon gosier !
En plus anomymes?
Pas saisi l'air
SupprimerLa colline aux Coralines ...
Supprimer( C'est pas dans l'air du temps ,mais j'aime beaucoup les vieux tubes )
Heu oui les tubes céramiques ou des années 80
SupprimerSnow ... " informer"
SupprimerJe préfère les implants en céramiques plutôt que les couronnes en alu
J'♥
RépondreSupprimerHello... je vis une période difficle
Supprimerla poésie m'a tué
me sauvera-t-elle
Merci
A plus
C'est fou quand même cette sensation qui reste après la lecture...
RépondreSupprimerDès les premiers mots j'ai fermé les yeux et savouré...
Merci
Oh MarieL, mon petit rayon de soleil,comme me manquent tes mots ,surtout en cette période de confinement, je t' embrasse fort , prends soin de toi et des tiens
SupprimerEstaile
Quand on se plonge dans ma poésie ce n'est pas pour mourir mais pour essayer de renaître malgré tout.
RépondreSupprimerMerci pour ce très beau texte
Amitiés à toi
Je m'éthernise...par la fenêtre l'envol s'est bien passé, Kundera était passager. Ne pas retourner chez les faibles lui dit-il d'un pas sage entre les lignes. L'arbre forgé perd des feuilles d'eucalyptus pour les Koalas oubliés.Merci pour la laitue!
RépondreSupprimerMerci pour votre message... Le vent est froid mais léger... l'hiver caresse encore les oliviers, le ciel se voile... Mais c'est dimanche et je suis redevenu amoureux !
SupprimerApolline a noté D'une fenêtre à l'autre.
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