
Qui suis-je ?

- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Tous mes poèmes
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2010
(177)
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mars
(13)
- La forêt entre nous ...
- Dieu à encore bu ... Arrêtons de dire des mensonge...
- Le temps d'un songe ou le sceau d'un mensonge
- Titicaca à la tourista
- Vol au dessus d'un lac à la rencontre du troisième...
- Tournage au clair de lune d'une orchidée sauvage
- La cité perdue
- Cri et jalousie
- La raison d'aimer nos saisons
- Le printemps d'une balançoire
- Aubépine piquera t-elle mon coeur
- Le mépris et l'âme perdue
- Le terminus de l'espoir au bout du fil
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mars
(13)
jeudi
Le terminus de l'espoir au bout du fil

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Quand la vérité s'épanouit, La beauté danse dans l'air. Elle et moi, voyageurs des vastes horizons, Habitués aux caresses des plain...
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Je sors la nuit Courir la forêt Cherchant les pas De la lune J'ai retiré la glace du mur Qui me conservait chaque matin ...
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De l'anti-écraseur Au projecteur sur nuages J'ai la chance D'avoir encore tous mes doigts Alors que le temps Se raccourc...
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Dans le tissage du temps, quelle couleur se dessine ? Ce qui brille pour certains peut devenir ombre pour d'autres. À quoi bon écrire ...
Bah, mégalo en songe, c'est pas bien grave !
RépondreSupprimerEt pour tout ça, merci. Vraiment !
Bisette
Halentien
Megawatt!!!
RépondreSupprimerOn a trouvé la source alternative d'énergie...enfin!
Je me noie
Et me connecte au bout des doigts
Fil rouge fil bleu fil jaune et vert
Et mon corps illumine la terre
L'artiste de la couleur, toujours l'artiste , même dans sa "dissolution" finale.
j'aime ce poème diffèrent et plein de courant.
galatea eleEcTriséE
Halentien ... Hum je préfère être mégalo en songe qu'en mensonge
RépondreSupprimerGalatéa c'est la ouate ou watt ou as tu mis les doigts dans la prise sans terre et tu as fini à ne plus tourner dans le bon sens comme celle que nous connaissons
Le terminus de la ligne 85 te conduit à l'hôpital Dieu Ô encore lui
Comme James Bond désamorçant la bombe
RépondreSupprimerFil rouge : la phase, fil bleu le neutre
Te goure pas James si tu veux sauver le monde
…
Sauvez le monde
Aude
Aude à la différence de Bond je ne prends pas de commission sur mes actions nocturnes et humanistes ... Je suis bénévole
RépondreSupprimerIl était branché sur le triphasé, je comprends tout maintenant;
RépondreSupprimerFais gafff ça frise et puis t'es trop cuis cuis cuis...après
j'ai peur de la suite, si c'est toi qui as su sauver le.. monde
Sélénaé
Que la lumière soit, et la lumière fut... ai-je lu quelque part....
RépondreSupprimerTu as bien assemblé les fils... sinon.....
amicalement, poète
Pierre
Électrisant...
RépondreSupprimerMarie.
J'ai eu une drôle d'impression à la lecture de ce poème, avant de l'expliquer, je vais citer ce qui l'a fait naître en moi :
RépondreSupprimer"Dans un bus"
"station"
"terminus"
"fils électriques"
"illumine"
Autant de mots qui me font penser à l'univers de la ville...je suis peut-être déformé de par ma passion pour la géographie, mais ton poème me faisait penser à ce qu'on pourrait nommer" poème urbain", même si je ne peux être dans la vérité puisque ça ne s'applique pas à sa globalité d'une part, et d'autre part car ce n'est pas le sujet de fond !
mais il y a quelque chose d'actuel dans ces vers, qui m'interpelle !
une lecture très intéressante, justement pour tout ce qu'elle m'évoque.
amitiés sincères à toi.
pyc.
C'est un rêve urbain récurant dans lequel je me noie toujours au milieu de fils électriques c'est sans doute mon aversion pour les entrées de villes où ses zones commerciales et industrielles qui fleurissent comme des champignons, oubliant le code d'urbanisme et le bon goût. Ce scandale architectural a échappé à nos responsables politiques contre quelque emploi à la clé et pots de vin pour ne pas dire plus ... Mais la roue tourne cependant nos villes ont perdues leurs identités et cela va être difficile de revenir en arrière en offrant des zones commerciales et industrielles en cohérence avec la géographie, l'architecture et l'histoire des lieux !!!
RépondreSupprimerC'est l'overdose de fil électrique sauvage et des zones désaffectées que l'on ne recycle pas, on préfère aller conquérir d'autre champ vert agricole pour implanter de nouvelle merde en tôle galvanisée castorama et compagnie !
Finalement ton impression était la bonne pyc !