Qui suis-je ?

- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Rire est-il drôle
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non le rire n'est pas drôle
RépondreSupprimeril est curateur dans la folie du monde
il délivre
il donne à lire la douleur sous les rires fous de douceur
je ris maintenant de mes malheurs
tourner en dérision est source de résilience
mais alors qui entend les vrais cris dont tu parles
des pauvres des méchants des autres des invisibles des souffrants
le rire de chacun n’est que le sien tout comme son malheur
impartageable
je ris seules moi-même
qui peut partager un fou rire qui fait pleurer les dents
aller james on le sait bien
on en crève de rire
je meurs de rire
ah oui voilà
je veux mourir du rire du désespoir de vivre
justine... rira bien qui rira le dernier
Supprimerquoi..quoi
RépondreSupprimerKoi-koi... canard et crustacé
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJe suis Camille Dupond et j'habite le 999 route de France à Paris.
Suis je drôle ?
connais pas C.D. et l'adresse...
RépondreSupprimerGuy Fawkes eut été plus fun,
SupprimerCD né(e) le 1 Janvier 1970 habitant à l'adresse sus citée est l'ombre de nous, le nom par défaut, l'exemple, l'identité fantôme de nos attestations, nous la croisons sans même la voir parfois (allégorie vaporeuse, blague douteuse)
J'ai un doute... Vous ai je dit bonsoir ?
Ni canard ni crustacé (au menu)
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe texte joue avec la question de ce qu'est un "vrai" problème, en mêlant des réflexions profondes et des images poétiques sur le rire, la souffrance et l'absurdité de la vie moderne. Paradoxal et caustique, il oppose le rire libérateur aux poids des injustices sociales et des douleurs personnelles. Avec des touches d'ironie et d'humour noir, il explore notre besoin d'échapper à la réalité tout en pointant les contradictions de nos sociétés. C'est un texte à la fois sombre et lucide, qui interroge la légitimité de notre rire face à la dureté du monde.
RépondreSupprimerL'ironie et l'humour noir offrent à mon sens, une perspective fascinante en nous incitant à réfléchir sur la légitimité de notre rire face à la cruauté du monde. Ils peuvent servir d'évasion ou de catharsis, même dans les moments difficiles. En somme, cette approche nous invite à explorer les contradictions de notre existence et à chercher un équilibre entre légèreté et gravité. Le fameux juste milieux du raisin sec Confucius
SupprimerMalgré tout ce que nous entoure quand on peut rire c'est fantastique!
RépondreSupprimerMais il m'arrive, il nous arrive très rarement , "purtroppo"
J'apprécie ton regard sur ce monde plein de contradictions, d'injustice , de souffrances et de superficialité.
N'oublions pas les Autres, c'est indispensable.
Ridere è davvero un tesoro raro in un mondo complesso, e ricordarsi degli altri è essenziale per coltivare questa gioia condivisa.
SupprimerAvoir un problème demande une solution, quand il n'y a pas de solution, il n'y a pas de problème. C'est comme ça, il faut faire avec !
RépondreSupprimerYvon
Quand un problème n ' a pas de solution il n'y a pas de problème,. Ben si quand même, il y a un problème insoluble et ça peut être le vrai
Supprimerproblème .
.
Il me semble que d'accepter l'absence de solution peut être libérateur, car cela nous permet de vivre sans le poids des problèmes non résolus
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RépondreSupprimerOui...Il me semble que le rire, qu'il soit du fou ou d'un autre, révèle souvent des vérités cachées
et ce qui amuse une souris peut sembler dérisoire aux yeux des chats
C'est vrai, un problème insoluble peut être le véritable défi, car il nous confronte à nos limites et à notre capacité d'acceptation
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