À la lumière d'un arbre en vie
N'est qu'un pur achèvement
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
J'irai fouiller
RépondreSupprimerLes tréfonds de ton âme
Déshabiller tes yeux
Le coeur à l'abandon ...
Te couvrir d'émoi
De simples mains de femme
D'un baiser langoureux
Terrasser tes démons.
Je sentirai trembler
Le feu de notre amour
À travers ton chandail
Mes seins au diapason
Gorgés de courage,
Bourgeonnant de velours
De plaisir et d'envie
D'Atteindre l'horizon!
J'imprimerai
Le solfège
De tous ces longs frissons
Sur des notes arpèges
dans le creux de ton cou...
Terminerais
l ' oeuvre
de murmures incessants
À en devenir
Complètement
folle
et toi fou...
Sur le chemin
RépondreSupprimerDe notre errance
Il pleut des cordes
Des bouts de nous ...
Comme deux feuilles
Qui se balancent
Dans l'air du temps ,
Ocrement doux...
Autrement ciel
Toute notre enfance
Celle qui s'accorde
Un rendez vous
Est bien réelle
En confidences
Et super belle
En marabout.
Quand nos demains
Se jettent au feu
Sûr, que nos mains
Brûlent d'aveux
En laissant là
Des cendres bleues
À la lisière
De nos cheveux .
Je veux la flamme
Me perdre au jeu
Des papillons
Des camaïeux ...
Je te veux toi
Et tout ton je
Simplement toi
C'est merveilleux.
À la taverne
RépondreSupprimerOn s' etait dit
Qu on irait voyager
Comme Jules Verne
Qu'on irait au paradis
Ou en enfer si on voulait...
Je t'ai attendu des heures
Des heures c'est long ici
Tu t'es pointé en retard
La main sur le coeur
Et les yeux tous bouffis.
"Y a un lézard " ?
"Je crois bien que non
À moins que si
Tu m'as laissé longtemps
Vingt mille lieux sur les mers"...
" J'te demande pardon
On s'était rien promis
Que cinq semaines en ballon
De la lune à la terre"
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RépondreSupprimerDes petits points blancs
RépondreSupprimerdevant mes yeux
volent en rond
depuis les cieux...
Des petits flocons
tout amoureux
embrassent le blond
de mes cheveux...
L'hiver a ce goût de silence
les lèvres en savourent la danse...