Qui suis-je ?

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La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.

Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...

« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »

Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »

Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !

Toutes les fautes d'orthographes sont corrigées au fur et à mesure des rencontres... Et toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite

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vendredi

Fièvre affective

La mer, l'onde infinie,
Le rivage et son sable éternel,
La majesté des cimes enneigées, dons du ciel,
Résistent à l'assaut du temps, hurlent,
Au point de briser le souffle,
Face aux aveux les plus arides,
Déchus des cieux,
Qui clouent l'âme au sol.

Tu nourris en toi cette sève inaltérable,
Une énergie rare et puissante,
Qui alimente les ailes de l'existence,
Quand tu chancelles,
L'arbre se dénude,
Ses racines se dessèchent,
Et t'emprisonnent dans leur étreinte.

Entends-tu ton cœur battre,
Jusqu'à en perdre l'ouïe,
La partition joue une symphonie céleste,
Une note plurielle,
Le soleil réchauffe l'obscurité,
Et libère l'âme de ses chaînes.

Enveloppé dans un silence éloquent,
Ton entêtement persiste,
Dans le dédale de l'existence.

Insatisfait des émotions ressenties,
Faut-il se résoudre à la solitude pour les réinventer ?






10 commentaires:

  1. Le doute s'est installé
    À l'arrivée de l'automne
    Dès que les feuilles sont tombées
    Qu' a pourri la dernière pomme.
    La mousse sur les arbres
    Qu'a peint le souffle du vent
    A recouvert l'astre
    De vils ressentiments ...
    Et mes pensées se brouillent
    La lisière de la forêt
    De brume sur mes vers souille
    L'espoir , j'ai mal si tu savais.
    Ma route a imprimé
    Les couleurs monotones
    Du rouge et de l'orangé
    La voie semble aphone.
    La rousse dans son cadastre
    Avait dessiné les plants
    Des courbes alors grouillent
    Des branches, je vais craquer
    Tomber à même la houille
    J'ai peur , de ne pas me relever.

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  2. Sortis du frigo

    -Prise de tempe Celcius-
    (fièvre en tempête)
    Ça va sans dire
    -Tousse en chaîne-
    Ça va va sans faire.
    Les cieux se dérobent
    aux  bleus arrosés
    des friseurs d'ennui.
    Spleen partie !
    -"La boucle  ! "
    Recyclage :
    La pluie s'ébahie,
    taciturne et enjouée,
    (Tout ça en même temps)
    battant le Temps, mort ou presque.
    D'une pupille en coton, les gouttes mélodieuses
    écrasent le doute d'une ivresse pieuse.
    Nom d'un cumulus !
    Je vais crever l'abcés d'une plume d'oreiller,
    afin de contempler l'envol
    du thermolactyl doré
    en terre de verre et d'être chair.
    Le silence tenace
    (avec parcimonie) se terre
    aux trous portuaires
    d'une peau en dégaphone Avancé.
    Des doigts, des pieds et des restes tiges,
    joliment assortis au vase clos
    d'un rien ne vaut
    un cafard naüm enucléé
    Accompagné d'un  jet
    de délirium métastasé.
    Stand up ovation !
    que faire ? Qu'être ?
    Où ne pas être
    En mai
    tout n'est pas si blanc
    Il y a un peu de gris aussi
    sur le muguet.
    Ici git..
    indécise, une ligne d'envie
    au creux d'une paume
    un cadavre exquis.
    Les faux semblants d'un noir éclatant
    se spleen-linceul lorsque les
    os sombrent seuls.


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  3. Bonsoir,
    L'affection : une fièvre enivrante, doucereuse, émotionnelle...

    Lys..

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    Réponses
    1. Lys-clea... essayons de nager dans l'affection sans limites...

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  4. Parfois il vaut mieux s'adapter que résister

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    Réponses
    1. MARIE L.... comme se poser sur des flaques d'eau ça ne daignera pas ou bien...

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  5. Un écrit qui emmène loin
    dans les couloirs de la pensée
    là où le soleil de la nuit
    chante la symphonie affective

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    Réponses
    1. Yuba...Séduit par une douce chaleur
      Et satisfait de la beauté
      Je m'incarnerais plus
      À une autre fleur...

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  6. Il me manque
    - Comme le sel à la mer
    - Le sucre dans mon café
    - Les nuages dans le ciel
    - Le soleil au levé
    D 'un nouveau jour sans fin
    Qui se renouvelle sans cesse
    Après de longues nuits
    Passées à le rêver ...
    Il manque à ma vie
    - Me manque toutes les heures
    - Dans les champs les prairies
    - Sur la route, au lidl
    - Même à la boulangerie...
    Il manque à mes projets
    - Manque à ma destinée
    - Me manque au boulot
    - À la pause déjeuner
    - Au goûter au dîner
    - Me manque de le croiser.
    Me manque de tout mon coeur
    Me manque de tout son lui
    Ne me manque pas un autre
    Ne me manque autre chose
    Que ses yeux qui sourient
    Qui me disent toi aussi...

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