Qu’on me reproche
Enlève tes chaussures
Tu vas mettre du sang sur le parquet en chêne
Le printemps reviendra
Il revient toujours
À mon tour
Arrête de trembler sur les faits divers
Sur l'objet en suspension
Vibre avec la vie
Qu’importe qui sont les salauds de la semaine
Ta peau
Est toujours exposée
Sérieusement
Sans amour la vie serait morte
Mon cœur est dans tes mains
Son battement sur tes seins
Et la pleine lune
Te baise le front
La rue n'est pas en crise
Elle a été tracé comme ça
Au pif
Ce poème vous a déplu
Son existence
Pas son instinct
Bonsoir,
RépondreSupprimerIroniquement : chacun son Bataclan et en toutes saisons
À mon tour : Les faits inondent le papier qui pourrait narrer autre chose
Sérieusement : aimer à fond la vie et autour de soi
Lys
Lys-Clea... Ce ne sont pas tellement les événements qui nous troublent, mais surtout l'idée que nous nous en faisons.
SupprimerDans tous les cas
RépondreSupprimerIl faut se protéger
Vibrer avec la vie
Et surtout aimer
Le poème plait !
Lys-Clea... Ce ne sont pas tellement les événements qui nous troublent, mais surtout l'idée que nous nous en faisons.
SupprimerIl est bronzé toute l'année
RépondreSupprimerSon foie imbibé de vodka
Amorce le choc , il s'est cuité
Aux vapeurs de la Tequila ..
Le vert de son oeil
Bouffi de veines éclatées
À surmonté l'orgueil
Des nuits mornes à crever.
Il danse bourré à mort
À travers sa destinée
La choppe pleine à rabord
Le coude haut levé...
Il chante "auprès de ma blonde
Qu'il fait bon dormir"
La tête comme une guirlande
Cent fois brillant de souvenirs ...
Il est beau mon alcoolisé
Dans ses vapeurs d'outre-tombe
Quand dans mes bras sécurisé
Verse une larme féconde.
<a href="https://youtu.be/taYkTuTQk4k>Comme ça ? Ou moins...</a>
RépondreSupprimerOubli de guillemets
RépondreSupprimercomme ça ? ou moins
T'as gâché toute ma love story avec ton thriller ( sniff)
RépondreSupprimerSuis une romantique moi, je préfère Bradley Cooper dans le rôle
du Shalow...
Tu l'as cloué au pilori la seule histoire que j'ai aimé
RépondreSupprimerLa seule que je gardais dans mon armoire
Comme un cahier secret...
Tu l'as brûlé comme un drapeau sans état d'âme et sans respect
Piétinant son dos et sa peau , sa brûlure reste en moi gravée.
C'est pire qu'une décharge électrique qui me paralyse
Une piqure de cyanure qui me calcine de l'intérieur
Je l'aimais comme un oiseau sans
cage à Venise
Comme un murmure loin des nuisances extérieures ...
Je l'aime encore et je t en veux toujours
D'être dans mon corps ce poison qui circule
Je l'aimerai bien au-delà de la mort
D'aucun regret d'aucun remord...
Maintenant tu peux écrire FIN...
RépondreSupprimerLa vie est belle quand tu es là
RépondreSupprimerElle a une voix et un visage
Le bleu du ciel de la Provence
Le soleil d'un sourire immense.
Elle virevolte de haut en bas
Comme un oiseau libre et sauvage
Étant ses ailes sur la romance
D'un arbre en effervescence.
La vie est belle comme ce printemps
Où l'herbe fleurit tout autour
De ton regard qui ouvre au vent
La fleur secrète des beaux jours.
La vie est belle depuis longtemps
Par ses saisons par ses amours
Sa robe rouge sur ces instants
Portera les fruits du toujours .