« Renoncer à sa liberté
C'est renoncer à sa qualité d'homme
Aux droits de l'humanité
Même à ses devoirs » J.J Rousseau
Réinterprétation d'une contre pitrerie
Arriver à pied par la Chine
Quel gros dégueulasse
Le marin nettoie le fond de sa quille
Au bout de la jetée
Il n'y pas le con de sa fille
Il y a un combat de bouts
Sans ficelle ni à-coup
Une nouvelle norme de pantin
Où la pieuvre a le pouvoir
L'état d’esprit
De la peste et du choléra
Des tentacules qui infantilisent
Les sages comme les consanguins
Qui finira dans l'aquarium
Toi
Petit homme
La bienveillance est disqualifiée
Par tous ces dérapages
Ces crimes maquillés
L’omerta est une règle d’or
Dans la sphère des maquilleuses
Sur ses deux oreilles
L'apparatchik ne perdra pas sa place
Dans l’ombre de sa froideur
Nous voilà au cœur
Du faisceau qui favorise l’éclosion
Des vieilles rancœurs
De nouvelles statues
De marbre comme de plâtre
Parlons des voix de ces Robespierre
En herbe folle et chemisier à fleur
Qui parlent de liberté
En vulgarisant leur unique pensée
Comme sainte révolution
Où le sang serait justifié
Tous ces accordéons de la pense
Ces moutons égarés
Ne servent pas la civilisation
Ils la déshumanisent
À table il est l'heure de festoyer
Qui finira sur le bucher
Toi
Petit berger
Je sais que l'art ne sauve rien
Mais il conserve ce qu'il peut
La toile de fond la lumière
L’Éther qui se cache
Dans les veines du rossignol
Après toutes ces incompréhensions
Ces guerres et ces boutons
Je finirai la chanson
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Tombé du ciel
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Rêvons
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Retour au soleil
Le barbecue a encore du gaz
Le silence de l'agneau
Est dans mon assiette
Et mon verre reflète
Chair et tendresse
Au golfe clair de mes paupières
Ma jolie
Tes petits seins sont al dente
Cenelles scintillantes
Pores ouverts aux câlins
Glaçage du capitaine flamme
Truffe à l'embouchure
Des soupirs marinés
Dans des arômes doux crépitant
Le plat principal de ton corps
À mon clou de girofle
Parsemé de poivre rouge
Parfume ma langue confite
La cuisson est intense
Et l'agneau d'ici bêle
La nature rend hommage à Vivaldi
Et la danse humaine au parapluie
Liberté sexe et grillade
Quant aux mauvaises odeurs
Le voisinage ne m'a pas dénoncé
Ni même léché les sardines de mon attente
Pour rentrer m'égorger
Le sac de mon couchage
Et son cri d'assassin
Ont soulagé la gardienne des enfers
Et les arrêtes continuent de brûler
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Retour sur Terre
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En attendant le chant de la cigale
Le barbecue a encore du gaz
Et ma langue
Le goût de ta chair
Mon amour si nous allions dormir
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RépondreSupprimerSalut Curet-haut
RépondreSupprimerExcellent:
Pauvre sardine, moi je dirai plutôt une vieille morue ou un thon à lunette, j’ai rarement vu plus pétasse que ça qui plus est dans laquelle n’a jamais rien infusé et surtout pas la science, si cette sardine là est sensée représenter la femme alors mesdames je vous plains et putain bon courage à l’homme ´´déconstruit ´ qui partage sa couche et dieu sait si elle en tient une bonne La Sandrine!
Que voulez-vous son héroïne c’est Jeanne d’Arc alors forcément on peut comprendre sa réticence au barbecue, finir au bout d’une broche au milieu de gros dégueulasses qui se viandent, non elle préfère le wok plus écolo à l’air!
Jeanne d’Arc a voulu sauver la France
Sandrine veut sauver la femme
Alors nous sauvons nous
Amicalement
JC
Eh bien c’est fait ! j’ai là ma dose de citations pour la journée.
RépondreSupprimerLa dame est cocasse
Bien souvent loquace,
Son esprit pervert
Dessert bien les Verts.
Elle aime l’oukase
Et nous cherche noises.
Bizzz, JB