De l’armée des ombres vertes
Aussi désarmante
Qu’impuissante soit-elle
Par jurisprudence
J'enfouis mon sexe
Sous les feuilles
De mon arbre de vie
Et à partir de cent neuf
Les yeux plantés
Dans l’orifice d’une plante grasse
Pour me vider l'art
De mon apparence tranquille
Et me viriliser encore la dignité
Mais j'ai peur
Et je ne suis pas le seul
Quoiqu'il se passera
Autant mourir comme l’abeille
Le dard dans la peau
RépondreSupprimerIl paraît qu'en temps de guerre, l'instinct sexuel est un refuge.
Les boîtes de nuit ne sont jamais aussi recherchées que lorsque les bombes tombent...
Lof ... Tout dépend de qu'elles bombes on envisage et les chauves-souris sortent la nuit... Le viol est une arme de guerre... Le sexe je ne crois pas. Merci
Supprimer...l'instinct de vie?
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les images utilisées!
Merci!
Gladis ... quelques bons points et une image... C'est la règle... Merci
SupprimerEnfin seul au monde, par contre sur les routes ou dans les files d'attentes quand on est pressé, ils sont tous là.
RépondreSupprimerSinon...
Mes plantes vertes sont moins marginales que les votres, les miennes ont la feuille pendante et la tige incertaine
Parfois dans un élan de générosité elle tiennent une semaine, j'en ai même eu une qui s'est noyée dans son pot un jour de Septembre, j'y pense encore les jours de blues où je suis seul au monde et que l'autre n'avance pas alors que le feu est passé au vert.
Tant pis
Qui est anonymous !
SupprimerParfois moi
SupprimerEt d'autres fois pas
Une fois n'est pas coutume de savoir qui dépose une gerbe de chrysanthème sur le bord de mon chemin
SupprimerEdelphes... tant que l'on ne perd pas la tête les tournures ravivent la couleur
RépondreSupprimer