Aux cintres de son armoire
Qui peut vivre sans lui
Et pourtant elle le fait bien
Au prélude de la mélancolie
Elle se pose cette question
Où iras-tu demain
Elle répond sur la lune
Lieu à moisson
Avec mon sac à dos
Ma brosse à dents
Ma paire de lunettes
Une pierre à feu et mon stylo
Et je me laisserai tomber par terre
Mais il n'en est pas question
s'exclame la rose du ciel
Très lumineux ce poème, la conclusion tombe comme une petite goutte qui fait déborder le cœur-vase de la rose
RépondreSupprimerMerci pour ce favori
Joli comme les notes entendues
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