Derrière elle,
Un grand bouquet de pivoines fraîches.
Elle ferme les yeux,
Et souffle – douce, presque absente –
La lueur fragile des temples oubliés.
Alors son corps s’élève,
Comme une plume portée par un zéphyr d’éternité.
Son esprit s’échappe,
Glisse entre les ombres,
Tel un secret ancien aux ailes de silence.
Un poème mystérieux qui charme les ombres
RépondreSupprimerTemple de l'averse
Façonné de nuages