Au musé d'Orsay
Défait un corset
Avec mes lèvres gercées
Au cœur d'un lit
Tiède et désordonné
D'une duchesse aux pieds de vers
Je n'ai jamais triché non plus
En m'exposant à l'autre
Par les seins doux
D'un Niki de Saint Phalle
D'une grâce d'un Fernando Botéro
Malgré mes promesses
D'aller jusqu'au bout des choses
Les compromis
Alors mes yeux verts
Caressés par l'ombrage de la libellule
Chercheront toujours
Une sortie régulière
Dans les empreintes énigmatiques
D'un Niele Toroni
Celles de la vie
Et si vous pensez comme moi
Que le sud réchauffe
Et le nord inspire
Corps et âme
Suspendus à la branche du bonheur
Certains disent que la chance il faut la saisir,
RépondreSupprimerC'est un monde où il faut savoir nager pour réussir,
A vouloir rester vierge d'iniquités on en vient à se transir,
D'un froid issu d'un mode de vie minimalisme qu'il faudrait grossir,
A l'adret s'oppose ubac, et ce dernier a ma préférence cela évite de roussir,
L'épicentre comme point neutre, façon de réfléchir et de se poser question : Que choisir?
L'épicentre serait-ce un lieu d'espérance et de quiétude d'esprit? Mais l'espoir n'est qu'un leurre, un placebo pour désespérés puisque rien ne change vraiment.
Mes amitiés ..........Yves
Un labyrinthe à travers la conscience où la seule issue possible est l'honnêteté en accord avec le Moi profond.
RépondreSupprimerUn plaisir à lire
un écrit très profond
RépondreSupprimerTrès beau poème et sublime chute, merci du partage!
RépondreSupprimerAurore qui vote
Ok merci pour vos lectures
Supprimerje vois niki danser sur ton tableau
RépondreSupprimermerci pour ce musée vivant
et pour ton aide
Ok merci pour vos lectures
Supprimera attribué +1 : Labyrinthe vital
RépondreSupprimerEncore une lecture et je viendrai vous dire que votre texte est magistral.
RépondreSupprimerJ'aime.
Merci
Iloa Mys... Venir sans jamais repartir
Supprimerj'ai vu deux fois niki
RépondreSupprimerune fois nue une fois en bikini..!
bon je m'en retourne vous lire plus sérieusement
lili
Ok merci pour vos lectures
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