Un poète en particulier
Pour ses poèmes
Avant de le lire on sème
Pour éviter de se mentir
C'est pour vous dire
Qu’il y aura bien une graine
Qui germera dans la plaine
Une souris verte en contre-jour
Courra dans l’herbe avec amour
Beaucoup remercier
Sans trop lécher
Signifie secrètement
Même dans le sang
Demander davantage
Et il n’y a pas d’âge
Pour réclamer
Un petit baiser
Au moins sur la joue
Ennuyeux comme un jour de pluie
Sec et trempé
Je lâche la rime
Arrêtez d’insister
Je suis nu-pieds
Et je marche sur des vers pilés
La tête encore sur un bon cou
L’esprit averti de la chute
À force de tirer vers le bas
Les cheveux cloués au sol
Je finis ma course là-haut
Les pieds englués dans les nuages
C’est sans doute cela
De ne pas croire en Dieu
On s’invente notre propre monde
À l’image de nos rêves
À la réalité de la vie
Ce vendredi 13 commence
Et je viens vers vous
La faucheuse à la main
Pour vous offrir ma journée
Avec tout ce que j’ai pu y mettre de bon
Et aussi de moins bon
Ma mort attendra
Je suis toujours en retard
J’aime le partage
Pour tout ce que j’ai fait
De mal comme de bien
Je vous remercie
Car ce n’est pas grâce à votre aide
Que j’ai pu être utile aux autres
C’est grâce à quelque chose
Je la cherche
la gratitude enrichit l'instant
RépondreSupprimeret là, je me remercie d'avoir l'heureuse idée d'aller prendre l'air!
le vrai
le bon
celui qui rentre direct par les narines
et qui vous transporte
juste ici
là
dans la nature qui vibre!
bonjour monsieur X P
et
à plus
Oui prendre l'air
SupprimerAvant qu'il ne vous rattrape
Ô poussières
Je ne porte pas de montre
Car j'ai le temps
Et vous
envoie-moi la faucheuse
RépondreSupprimerje te remercie pour tout
La lame n'est pas assez affûtée
Supprimerelle risque de blessé
et de ne point tuer sur le coup
tu cherches la lune
RépondreSupprimertiens elle vient d'apparaitre juste en ce matin
La lune là haut ; la jalouse
Très excitée ; veut tout voir
Du clair qui se mêle au noir
Fils couleurs qui se cousent
Reproduisant de belles scènes
E n ce tapis en vert ; par terre
Assis des rivaux, qui espèrent
Qu’elle soit brillante et pleine
Et se reflète sur les visages
Le haut et le bas satisfaits
Et la belle symbiose est née
Après un doux accouvage
Ni la lune ne veut disparaitre
La haut, comme immobile
Ni les envies qui s’enfilent
De la passion vient de naitre
Sous le va et vient des étoiles
Qui un jour vont tout révéler
Même la brise se mêlait
De peur ils mettent un voile
Si la lune est le rêve du soleil l'homme est le cauchemar de la terre
SupprimerVous avez pas un abri ?? les vendredi 13 c'est sur une tuile qui va me tomber dessus... un écrit que j'apprécie ,la faucheuse s'invite quand elle veut hélas !!
RépondreSupprimerdisons que nous sommes pas pressé ,l'urgence n'est pas au R.D.V
bisous James PX
Un cadeau en souvenir de moi ,vous savez la vie ? Tient à un bout de fil ,
Votre poème remonte le temps
RépondreSupprimerIl peut se lire à l'envers !