S'exclut l'incidence amoureuse
Du vide
L'agonie se balança
Entre les branchies
D'une baleine terrestre
Souffle coupé
La paroi translucide éclata
Chaque pièce se soutint
Pour ne pas se disperser
Dans l'abîme des cieux
La nuit étala les survivants
Le papier brûla
L'encre dessala
D'eau en vin
La vie but pour oublier sa propre fin
Ivre morte
Ses ombres traversèrent les profondeurs
Sur un coulis de fruits rouges
Bouches ouvertes
À la recherche du plancton
Pour rejoindre les derniers cétacés
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RépondreSupprimerCe poème est comme un puzzle et les pièces ne s'emboîtent pas facilement mais demeure un climat mortifère assez envoûtant
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RépondreSupprimera noté Marchand d'oublis.
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RépondreSupprimerEnvoûtant sans être effrayant... quelle vision...
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