Pour bien vivre
Tu ne dois pas penser à la mort
Difficile
Elle m'accompagne
Une présence qui m'aide à croire
Le long des sentiers glacés
Poumons purifiés
Proche du Penseur
Une absence un ailleurs
La tête dans les cirrus
Pour oublier
Coexister
Apprendre à respirer
Avant d'apprendre à mourir
La voix des cieux
La mélancolie me regarde
Sans tout à fait me voir
Je tombe le masque
Rentre en création
Il y a ce passage noir
Qui me plonge dans une tragédie
Mélange de naïveté
Parfum d'utopie
Qui nous manque si cruellement
Et si la poésie était l'arme fatale
Contre le désenchantement
Actuel du monde libre
Rêver encore
Écouter les échos de la vie
Qui n'a pas envie
D'être sur le chemin
Je rentre dans ses yeux
Très grands
C'est une capture vert-noisette
Voilà ce qui me fascine
L'émotion
Très inspiré et inspirant
RépondreSupprimer... tout un programme
SupprimerOui la poésie comme arme fatale.... Essentielle !
RépondreSupprimerUn bon poète n'est pas plus utile qu'un bon politique...
SupprimerWeltschmerz à noté Dilemme
RépondreSupprimerLarme fatale, que d'émotions dans ce texte.
RépondreSupprimerà nos mouchoirs... merci
Supprimerla mort est notre compagne
RépondreSupprimerBonjour......
RépondreSupprimerAh! Si la poésie était en mesure de changer les choses,
Je le saurais mais chez autrui nous trouvons porte close,
La vérité n'a plus audience et le plus souvent elle indispose,
Que nous reste t'il si ce n'est les affres que la vie nous impose?
Demeure pour certains la foi, pour moi mon cartésianisme s'y oppose.
Amicalement......Yves.
un très bel écrit
RépondreSupprimeramicalement
Très belle poésie, merci du partage, belle soirée
RépondreSupprimerje découvre votre poésie et j'ai vraiment apprécié votre style et les thèmes abordés...
RépondreSupprimerbelle soirée, enchanté de faire votre connaissance...
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RépondreSupprimerBellissima trattazione ma con uno sfondo velato di tristezza
RépondreSupprimerComplimenti +James Perroux buona serata
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RépondreSupprimerJ'aime beaucoup, c'est comme sorti des tripes et bien écrit en plus !
RépondreSupprimerGalérion... Les tripes au vin blanc avec quelques vers
SupprimerDes observations instantanées, c'est au lecteur d'apprécier
RépondreSupprimerTANGO... Chaque instant recèle sa propre poésie
SupprimerL'émotion est là pour le lecteur BRAVO !
RépondreSupprimerDaniel lefebvre... L'émotion en quelque sorte est le lien qui réunit les extrèmes
SupprimerOui l'émotion par-dessus tout !
RépondreSupprimerJacou... si chaque chose a sa place l'émotion est souvent devant
SupprimerUn bien difficile dilemme en effet. Essayer d'oublier la mort en ne pensant qu'à la vie, à ce qu'elle offre de plus intense.
RépondreSupprimerPeut être faut il avoir vu la mort agir tout autour de soir pour prendre conscience de la fragilité de la vie.
J'aime beaucoup
a attribué +1 : Dilemme
RépondreSupprimerOh oui l'EMOTION, en moi c'est en lettres majuscules... J'ai beaucoup aimé !
RépondreSupprimersuane... Le minuscule est parfois plus lumineux... Comme ce ver luisant devant moi...
Supprimera attribué +1 : Dilemme
RépondreSupprimerFranchement émouvant ce texte. Au delà de la poésie il n'y a que la poésie.
RépondreSupprimerDans la vie vraie Machiavel et Sartre avec ses mains sales.
En prenant de la bouteille (j'en fais partie aussi) la trouille commence à pointer, la faucheuse se rapproche, j'y pense aussi, mais j'essaye de chasser cette image assez rapidement, c'est notre force à nous les utopistes rêveurs..
RépondreSupprimerTu as décris tout cela avec poésie, c'est pudique et superbe à la fois
Très joli poème qui nous dit que le temps c'est de l'amour
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