Est celui qui boit en nous
L'hydromel euphorique
De notre alchimie créative
Je veux être dans ta vie
Un lion délirant efféminé et viril
Qui rugit doucement dans son agonie
En atteignant tes lèvres quand tu l'embrasses
Encouragé et ressuscité par tes baisers
Vogue sur la canopée écarlate
Comme un poète sans armes ni remords
Une immersion puissante qui ne demande
Ni abonnements ni mensualités
Je tiens mes branches
Entrant dans ta chambre
Regarder le spectacle de ton âme
La gloire de tes seins dans mes mains
Le magma de ta peau dans mes poèmes
Tu m'attends nu dans l'ombre
Je sens les lignes
Qui définissent ta taille
La rose nacrée des vents
Qui emporte ma tristesse au loin
Entends tes gémissements
Le halètement urgent du cœur fou
Qui dans ses battements
Culmine avec le désir
Et submerge les profondeurs de ton ventre
Toutes ces nuisances absorbées
Par le fleuve en cru
Qui habitaient mon corps
Se sont échouées à ton delta fleurissant
Je commence à te lécher
Ma langue t'excite
Vibrato dans l'humidité
Qui se détache du sexe rose de la cupidité
Un swing rythmique de tes hanches
Tu t'allumes en hurlant de bonheur
Murmures de suivre la lisière
Entre sueurs et caresses
Et tu atteins l'orgasme fougueux
Qui me supplie de t'aimer à nouveau
C'est de l'auto célébration, ou bien... ??
RépondreSupprimerOmbre feuille... No limites lors d'un remembrement... Un amour sans bornes...
SupprimerMerci
Bonsoir,
RépondreSupprimerIci, la chaleur est volcan .. Quel incendie ! Puissant !!
Lys ..
Lys-Clea... Magma et crustacés...
SupprimerEntre pluie tropicale et ceviche
Merci...
J'ai jamais supplié pour me faire aimer ...
RépondreSupprimerLa vie a ses humeurs parfois elle balance tout
Ce quelle a sur le coeur ce qui lui serre le coup
Elle te fout une patate allume ton moteur
S'accroche à ta cravate pour faire murir ton coeur....
Mais quand elle aime rire je la vois qui te jette
Des plumes de poèmes dans la soie des rideaux
Des bisous des sourires qui s'envolent à tue-tête
Tatouant ses desirs sur la soie de ton dos...
La vie a ses rumeurs oui tu l'aimes quand même
Quand elle donne son coeur quand elle devient Sienne
Quand ses hauts et ses bas te filent
L'anathème
D' être reine ou le roi, met sa main dans la tienne.
La vie a ses rancoeurs pour toi elle devient fou
Commun film en couleur ses griffes dans la nuit
Te fichent une peur panique en imitant le loup
Verse le chaud et le froid sur le creux de tes joues ...
Fontaine, Fontaine,
RépondreSupprimerCombien d'eau a coulé
Au puit de mes tourments
Dans l'azur de mes peines
Penchée sur le reflet
De tes murs de ciment.
Combien , oh ma reine
N'ont pu goûter au lait
De tes seins opulents
Attachés à leur chênes.
Fontaine, Fontaine
Notre fil lance son filet
Au milieu des sarments
Où son chant se promène ...
Le diable a mis sa robe de communion
RépondreSupprimerConfessé aux culs bénis qu'il était l'heure
De fermer leurs églises. Sa femme en réunion
(Gwadaloupé de son nom), sublimissime femme fleur
En fut fort surprise, et décala ses rendez vous...
Une mouche les en avait elle prié ? Vous! le savez vous ?
Il se dit qu'ils se curaient le nez à l'encens
À l intérieur d'un confessionnal
Qu ils n' étaient pas les seuls qu'ils étaient au moins cent
Que leur Ave Maria avaient un air de bal ,
Mazette ! Offraient ils un digeo avec le serment ?
Un petit frhostie à tremper dans le saint crème ?
Je pense l' apprendre très bientot... Amen .