Elle est cette petite fille à la chevelure blanche
Si loin si proche
Apprendre des maîtres de l'immatériel
Elle est honnête je le suis
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Bravo
RépondreSupprimerPour moi ça me suffit !
Un régal
Salut James
RépondreSupprimerAlors cette nouvelle vie...
Aimantés au frigo :
RépondreSupprimerLa liste des courses,
Le chéri en photo
À cheval près de la source...
Le ciel est sans nuages
Le soleil au rendez vous,
Les dunes bordent la plage
L'île d'un orange roux.
À côté... une facture
Vaque à ses occupations.
C'est qu'elle a fière allure
À entretenir cette relation.
D'ici le 20 faudra la payer
Ou s'éclairer à la bougie!
J'ai plus faim tout compte fait
Ça m'a coupé l'appétit...
Un bon café noir
Une petite cigarette
Paisible lueur d'espoir
Dans ce monde vignettes.
C'est très bon pour la ligne
Voir pour garder la forme,
Je crois que c'est un signe
Pour ne pas dire énorme...
Aimanté au frigo
Un souvenir d'antan
Une fille sur une moto
Les cheveux mi longs.
Le prince de bel air
Un magnet de winnie l'ourson
Des places de concert
Ah mince, j'aurai dû les voir avant ...
RépondreSupprimerÇa sent les fleurs de l'voir heureux
D'un doux parfum de marjolaine,
Dans ses yeux verts où tant de bleu
Couvrait les champs de porcelaine.
Ça fleure bon de le toucher
Au coeur de ses charmants hivers,
Colore les sens d'un ouaté
Si cotonneux quand il espère...
Ça sent la rose et la pivoine
La marguerite et le bleuet
Enrobée de foin et d'avoine
L'herbe nouvelle de ses pensées...
Ça sent l'été dans son printemps
La pluie d'automne sur son nid
Pour être heureux y'a qu'une saison
Celle d'y croire et qu'on chérit...
Je suis telle une aliénée
RépondreSupprimerEnfermée dans un monde
Où l'écriture folle alliée
Me délivre dans une ronde
De mots d'amour vers toi
Ignorés de tes rivages
Où tu es toi les bras en croix
Il y a des lois il y a des cages.
Je rêve si grand de te sortir
De cette prison qui nous sépare
J'ai mal d'aimer et d'en souffrir
De ne te trouver nulle part ...
Je cherche à travers mon sourire
À t expliquer combien tu manques
Dans ce présent où l avenir
Reste figé dans ces calanques
Sans bateaux ivres à l horizon...
Je cherche un sein pour y blottir
Mon âme esseulée et dormir
Comme un enfant qui se planque
Loin des adultes en devenir
De leurs esclandres qui me flanquent
Des cauchemars sans raison .
Ps : j'écris pour une personne formidable qui se sent trop minable de part la situation que l'on vit...
RépondreSupprimerOui nul n'est censé ignorer l'amour !
Va vraiment falloir que j'ouvre mon propre blog, je ternis le vôtre, pardon ...