au cœur d'un no man's land
c'est comme écrire
Après la mise en route
du bonheur éthérée
de la souffrance
La première heure est difficile
et puis on s'envole
tel un oiseau
léger comme l'air
Les muscles du couvre feu
brûlent les feuilles dissipées
déclenchent
après l'effort
une prise de conscience
Aren't we being a touch dramatic
Nous ne sommes pas un poil dramatique
Comment réfléchir sans écrire
Le reconnaître
la guerre est morte
Serait-ce le premier pas
vers ce petit moment
de bonheur simple
Ne sommes-nous pas
des nuages chargés d'amour
cette nouvelle graine de liberté
qui pousse nos corps
sous une douche d'élixir
Relevons-nous
Pierre de Coubertin
Merci James pour ce poème intéressant
RépondreSupprimerUn écrit qui invite
RépondreSupprimerà pédaler sur un nuage
jusqu'à la strophe 5
où il serait bon de rester
Bravo James !
je pédale dans la semoule...
RépondreSupprimerMerci
RépondreSupprimerTrès bien choisi votre titre Jamespx, le vélo libre qui s'envole dans les nuages quand le temps est en suspend dans la solitude des rues désertées. Superbe photo artistique, Black and White avec un coté à la "Cartier Bresson", j'adore.
RépondreSupprimerUn tour bien sympa en compagnie de tes mots et d'une illustration superbe.
RépondreSupprimerJe brûle d'incendier
RépondreSupprimerTout ce feu qui le ronge
D'étreindre le brasier
Sur ce mal où il plonge
Sa froideur ennemie
Tout au creux de mes chairs.
Furibonde magie!
Quelle est donc cet enfer
Aux vagues cristallines
Chatouillant ses narines ?
Je brûle d'irradier
Ce goût qui l'enivre
De ma langue châtier
La bière de son livre.
D'être le contrebandier
De son bateau ivre
Et voguer sur les flots
D'une mer déchaînée
Le coeur à fleur de peau
De frissons partagés.
Je brûle de l'aimer
Aussi grand que le ciel
Et pouvoir relever
Ses yeux dans le miel
Des miens ,et noyer
De couleurs arc en ciel
Son soleil qui fanait.
Je brûle à ses côtés
D'envie de l' voir sourire
Renaître et respirer
D'arrêter de souffrir
Réapprendre à garder
La tête hors de l' eau
Qu' il sache qu'être beau c'est
Une question de tempo...
Tu as du relever la tête du guidon je te décerné le maillot jaune bravo amicalement Kinkin
RépondreSupprimerhello oui c'est ça on peut aussi écrire dans sa tête en pédalant
RépondreSupprimeret au retour le poème est prêt on l'écrit
j'ai fait l'expérience il y a longtemps
le vélo est dans ma tête
marcher aussi mais bon voilà les idées sont statiques
life is gone
les muscles du couvre-feu j'aime bien vos associations de mots et d'idées evernostre
les sirènes réparent les poumons quand tu es dans le truc tu penses autre chose si tu vois les murs défiler ou si tu as les yeux fermés
non pas de rustine je vous prie
et l'anesthésieur au réveil est un cauchemar; zut ça continue ça recommence
alors dites-moi ; surtout ne me réveillez pas je n'ai pas eu le temps de rêver
j'aime
RépondreSupprimerUn bon coup de pédale pour ce bel écrit
RépondreSupprimerBravo
Amitiés
Un sport qui vaut la piscine
RépondreSupprimermais élargit les difficultés
au bénéfice d'une certaine
liberté de penser!
Dès 1930
Tu as les derniers rayons de soleil
sur la roue
laissant pédaler ton esprit vers l'horizon!
et tu sèmes ta pensée échauffée
à distribuer faîte d'or rizon!
Un magnifique,
Merci à toi, Amitiés, Poly
Joli tour de roue félicitations bonne soirée
RépondreSupprimerBonsoir,
RépondreSupprimerJ'adore les trois derniers quatrains
Comme si , 10 ans ne c'était pas écoulé
Ta Poésie n'a pris aucune ride
humour irrésistible
*sourire*
Bel été James Px
Amicalement
Paule