Sur les marches de l'escalier
Qui sont devenues blanches
Se remplissent à vu d'œil
Cette pluie n'est pas libre
Ni même verticale
Elle est comme ce vol d'oiseau migrateur
Qui ondule au travers de la fenêtre de toit
Un rite une nécessité
L'eau a délavé l'éther
Toutes mes pages enfouies
Dans l'atmosphère
De mes angoisses
Parfois je préfère être transparent
Car je suis plus vivant
Laisse-moi rincer mes péchés
Et ferme les yeux
Je te relirai ce dernier vers
Je vais me guérir mon amour
Une poésie des plus vivante et qui transpire les sens...
RépondreSupprimerDe la vraie poésie qui parle... depuis le temps
RépondreSupprimerBonne soirée
Amicalement
J'adore. Ce brin de petite folie qui fait de votre poésie un texte d'exception. Bravo
RépondreSupprimerC'est par hasard ce soir que je revenais te lire James... Toujours une rencontre basée sur l'éphémère... un cri de l'intérieur pour être compris... belle poésie...
RépondreSupprimerMerci
J'avais passé ma route à retarder mes doutes
RépondreSupprimerSur des ponts tout de pierres des tronçons de rivières
En flânant ci et là en y gravant tout bas
Sur de petits carnets quelques mots griffonnés .
À l 'encre de mon cœur temps d''impasse de lueurs
À me croire poète décrivant à tue-tête
Les chemins parcourus les gens que j ai connu
Tout ce que j'ai aimé ce que j'ai détesté
Ceux qui m'ont tant manqué et ceux restés à quai.
J'avais passé ma vie à prendre des raccourcis
À fuir le présent avec des mots d'enfants .
Confié à Poésie comme est belle la vie
Tant ma muse était celle qui me restait fidèle
Quand j écrivais le soir éclairée dans le noir
D'un chandelier d'argent au décolleté plongeant.
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RépondreSupprimerLa Pensée ne s'entend pas , alors je l'écris, j'Adore
SupprimerMes compliments poétiques Adorable Poète
Paule Marie M.
Quand la nuit se dévoile et que le jour enfin
RépondreSupprimerT'ouvre ses persiennes
Quand brillent les étoiles gazouillent les papillons
C'est si beau de l entendre partir ton chagrin
Dansent ces larmes miennes .
Vas ! Vis ! Je vais bien . Respire! Vole! C'est ça être vivant.
Il a sorti les Kro j'ai sorti la despe
RépondreSupprimerJack était au frais le charbon de bois op
Ça caillait dans le coin de la fumée sortait
Des trous de nez de chacun mais les gens se parlaient .
Ils se frottaient les mains se réchauffaient des yeux
Ça gueulait chez certains mais ils étaient joyeux
De passer un moment conviviale et heureux
C'était si peu banal depuis un temps pluvieux .
Et noel était là c'était tout ce qui comptait
Dans le coeur des gens en cet instant précis
Revoir chez tout un chacun un soleil se lever
Juste à cheker du poing et du coude aussi.
Quand l 'ombre gagne à ressortir les pluies diverses
RépondreSupprimerEt que ce pagne étend ses couleurs averses
Rien ne paraît .Plus transpercant qu'une bourrasque
Cela effraie la nuit aux yeux orageux et fantasques.
Quand rien n y fait quand tout chamboule
Que tout s'y mêle plié en boule
C'est du vacarme en continu
Dans les armoires suspendu.
Ranger son linge faire le tri
Faire de la place dans la penderie .
Laisser du temps au tant pour moi
Au temps d'avant .Dieu quel émoi !
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