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La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.

Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...

« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »

Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »

Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !

Toutes les fautes d'orthographes sont corrigées au fur et à mesure des rencontres... Et toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite

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mardi

Spleenuosité

Le spleen est comme la brume
Qui surfe sur la mer
Selon le sens du vent
Il s'évapore ou se cristallise

Tu me l'avais demandé
Mais l'œil pâle ne regarde jamais
Sous le tapis le plus-que-parfait
Tu peux le voir
Dans l'indélébile passion

En moi une petite voix
Sans doute inaudible
Rompt le lien
De ce que je ressens
Mais l’issue de secours
Est à portée de main

Pour toi j'inventerais de l'instant
Un mouvement une respiration
Une île gonflée de libellules
D'algues sucrées
Des heures luisantes et souples
Plus chaudes qu'une bouche
Et plus légères qu'une aile

L'amour est comme ce velours
Qui se love dans tes yeux
Selon le sens d'une caresse
Il s'illumine ou s'éteint
 
 
 
 
 

10 commentaires:

  1. Un merveilleux moment de lecture, accompagné d'une musique toute aussi majestueuse.
    Je vous remercie !

    RépondreSupprimer
  2. Un bel amour en dépit des difficultés et de l'imperfection

    RépondreSupprimer
  3. Bjr,
    Favori.
    Un peu perdue sans ponctuation pour goûter dans la profondeur, ce vers délicieux, mais à relire pour s'y bercer...
    La guitare donne un effet magistral, évade l'âme vers une douce harmonie..
    Merci pour ce partage !
    Bravo !

    RépondreSupprimer
  4. Magnifique texte plein de sens et de poésie...
    Porté par la musique il touche d'autant plus...
    Merci et bravo !!!

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  5. Hello beau texte et tout a été dit

    RépondreSupprimer
  6. La petite voix
    aidée de l'île gonflée de libellules
    fait des merveilles.. Partout !

    la musique est écoutée en boucle, au bureau...
    Hier en sourdine aujourd'hui un peu plus fort
    ma collègue Karima l'adore... aussi ! lol

    Merci James

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Yuba félicitation pour toutes les fleurs de l'avenir...

      Supprimer
  7. J'ai raccroché les feuilles de l' arbre de ma vie
    Dans l 'ordre qui m'importe sous le vent et la pluie .
    La corde qui pendait disait non de la tête
    À ce souffle effronté d'un vantard mépris.
    J'ai replié mes branches d'un amour aussi propre
    Que la salle à manger qui s'invitait à moi.
    Sa nappe était trop blanche et du sel brillait
    Sous le lustre en cristal comme de petits diamants.
    J ai raccroché les feuilles éloigné son soleil
    Des racines profondes qui me tenaient debout.
    Bien sûr que j ai eu mal car je les ai aimés
    Les mots sur mon écorce qui s'y étaient gravés...


    RépondreSupprimer
  8. Merci à tous... L'autre comme source de poésie

    RépondreSupprimer

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