de l'ombre à la lumière,
votre âme s'investit en quête,
d'un pas incertain,
vers l'aurore en filigrane,
empruntez le sentier du milieu,
où l'espoir se démène.
Vous portez le fardeau du monde,
noble Atlas,
vos chaussures, par le temps,
sont forgées en atlas,
un esprit las,
pourtant droit,
résolu, tel un phénix,
en équilibre,
à la croisée des étoiles,
en un simple élixir.
Si l'hésitation enlace
votre choix étoilé,
évitez les sentiers perfides,
les pièges du passé,
le monde,
un jour,
se métamorphosera,
illuminé,
comme il s'est enflammé jadis,
dans l'obscurité enchantée.
Et si, comme des songeurs,
vous avancez à pas de danse,
tenez bon,
avec ceux qui comprennent votre cadence,
ils seront là toujours,
une étoile en résonance,
une douce présence,
quand le monde dira « non »,
que votre cœur, lui,
réponde « j'avance ».
Mon bien cher frère poète. Bien sûr, toutes les ressources de la sagesse sont en nous, c’est pourquoi au-delà de ce superbe texte si cela continue nous serons obligés de voir ailleurs.
RépondreSupprimerFavori ! j'ai beaucoup aimé ce chemin à prendre à son rythme, entre l'ombre possible des autres et notre propre lumière, inflexiblement nôtre.
RépondreSupprimerSarahg... un voyage spirituel vers la lumière malgré les doutes... même lorsque le monde vous résiste.
Supprimer