Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Nombre total de pages vues
Rechercher dans ce blog un poème
Tous mes poèmes
mercredi
Le jardin
Mon jardin si petit, si riant, si coquet
Propose gentiment son calme et sa fraîcheur
Groupant toutes ses fleurs, il forme un grand bouquet
Le chèvre feuille de la pergola diffuse sa senteur
L'allée de lavande invite le passage
Offrant au vent léger son parfum si particulier
Et s'ouvre pleinement en un large
Eventail sur un vieux figuier
Dans ses feuilles parfois se faufile un oiseau
Repartant vers la restanque ancestrale
Recouverte d'arbustes taillés au cordeau
Et de fleurs originales
La bignone allégrement monte le long du mur
Dans ses feuilles parfois danse un lézard
Ce minuscule Eden couronné par l'azur
N'arrête pas de nous mettre en retard
La haie de chênes verts protége du mistral
Toujours aussi pénétrant
La terrasse des festivals
Eté, autonome, hiver et printemps
Abonnés du blog
Les dix archives les plus consultés ces 30 derniers jours !
-
Dans le murmure des feuilles, Les secrets s’éveillent, Chuchotements d’un monde oublié, Où l’harmonie danse, Éphémère, Sous le poids des cer...
-
L’oreille collée aux rails dédouanés, Je perçois le fracas d’un insoumis, Furieux, prêt à anéantir Tous ceux qui osent penser autrement. Il ...
-
Dans l'ombre ouverte des rues , un poison s'étend, Fentanyl et cocaïne, un duo troublant. La fameuse « drogue du zombie », spectre...
-
Pourquoi désirer ton amour, Quand son cœur naufrage dans le néant ? L'amour, n'est-il pas cette flamme éphémère Ce volcan de tendres...
-
À Paris, Quoi qu'il advienne, L'efflorescence fongique finit toujours par éclore. Après une immersion scénique Et la dissolution de ...
-
Les murmures du monde s'évanouissent, laissant place à un instant de grâce, un souffle à appréhender. Dans le jardin d'hiver, où les...
-
J’ai rêvé que le monde riait J’ai rêvé que le monde pleurait J’ai rêvé que l’amour naissait J'ai rêvé à l'impossible jamais Je s...
-
La maison sous les arbres Abrite mille et un vers En particulier Ceux qui sustentent la charpente Par l'abondante nourriture ...
-
En perdant la clef Je dis au revoir à mère nature Et impuissant je regarde L'eau s'épuiser dans les arbres Ses fruits sup...
-
Se préparer à mourir ou se laisser vivre L'E.monde se délecte entre un ou deux E-mails Selon la marche de sa verrue planétaire Sur...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire