Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Nombre total de pages vues
Rechercher dans ce blog un poème
Tous mes poèmes
-
▼
2011
(148)
-
▼
janvier
(11)
- Je viens vous dire
- Petit jeu sous un commentaire suite
- Petit jeu sous un commentaire
- La Marseillaise a une extinction de voix
- Sous le soleil j'ai saisi la lune
- Un hiver sous morphine
- L'institutrice
- La danseuse s'est-elle trompée de jour
- Adage du jour ... Incompréhensible voire absurde e...
- Citation du jour ...
- Au bord d'une nuit d'hiver
-
▼
janvier
(11)
mardi
Adage du jour ... Incompréhensible voire absurde et vive la république !
Ceux qui pondent ces fameuses lois bien au chaud dans un bureau loin de la réalité du terrain, s'ils apprenaient le sens et la valeur des mots et de la vie pour ressentir, s'ils descendaient dans la rue seuls pour observer, s'ils voyageaient dans le monde seuls pour s'imbiber, il y aurait moins de conflits, de misères et d'injustices sur terre.
Je propose : «Nul n'est censé ignorer la Vie»...
Abonnés du blog
Les dix archives les plus consultés ces 30 derniers jours !
-
L’oreille collée aux rails dédouanés, Je perçois le fracas d’un insoumis, Furieux, prêt à anéantir Tous ceux qui osent penser autrement. Il ...
-
Dans le murmure des feuilles, Les secrets s’éveillent, Chuchotements d’un monde oublié, Où l’harmonie danse, Éphémère, Sous le poids des cer...
-
Dans l'ombre ouverte des rues , un poison s'étend, Fentanyl et cocaïne, un duo troublant. La fameuse « drogue du zombie », spectre...
-
Pourquoi désirer ton amour, Quand son cœur naufrage dans le néant ? L'amour, n'est-il pas cette flamme éphémère Ce volcan de tendres...
-
À Paris, Quoi qu'il advienne, L'efflorescence fongique finit toujours par éclore. Après une immersion scénique Et la dissolution de ...
-
La maison sous les arbres Abrite mille et un vers En particulier Ceux qui sustentent la charpente Par l'abondante nourriture ...
-
J’ai rêvé que le monde riait J’ai rêvé que le monde pleurait J’ai rêvé que l’amour naissait J'ai rêvé à l'impossible jamais Je s...
-
Les murmures du monde s'évanouissent, laissant place à un instant de grâce, un souffle à appréhender. Dans le jardin d'hiver, où les...
-
En perdant la clef Je dis au revoir à mère nature Et impuissant je regarde L'eau s'épuiser dans les arbres Ses fruits sup...
-
Se préparer à mourir ou se laisser vivre L'E.monde se délecte entre un ou deux E-mails Selon la marche de sa verrue planétaire Sur...
Faudrait-il encore se sentir vivant et considérer que nous faisons tous partie de ce vivant ..; que les uns sans les autres une partie se meurt , mais le pouvoir de certain tue lentement la vie qui nous porte ..
RépondreSupprimerRien n'est figé reste encore des coeurs ouverts bien heureusement ..
Bisous James ..
Létie
Létie... Il y a des vivants qui pensent «être supérieur» je ne sais pas en quoi mais plus je vieillis plus je crois que la nature propre de l'homme est de passer devant l'autre, une sorte de but à accomplir...
RépondreSupprimerJ'ai un exemple en face de moi et pourtant au départ il avait du retard mais sa nature reste intacte, il ne peut pas s'empêcher «d'écraser» les autres pour faire simple.
Heureusement nous sommes pas tous comme cela mais il faut rester vigilant si l'on veut rester libre !