Le festin s’exorcise, et brûlant, je parsème
Régal d’odeur noble et révolutionnaire,
Une ripaille pauvre et extraordinaire.
Fol, je hache et love la chair de ce dilemme.
L’éther comme le diable n’a pas de nom ciel,
Dans cette nuit torride où la lune est féconde,
Où le succube hume l'alcôve qui gronde.
Gestes et actes d’un être démentiel.
À chaque manifeste, encore est toujours toi.
Mon doux faisceau unique est mon regard sur toi,
Sur elle, ce qui semble combien essentiel.
À travers ses eaux d’un amour torrentiel,
Me croirais-tu vraiment si je te dis : « je t’aime ? »
Suis-je ni or ou diamant du diadème.
.
Régal d’odeur noble et révolutionnaire,
Une ripaille pauvre et extraordinaire.
Fol, je hache et love la chair de ce dilemme.
L’éther comme le diable n’a pas de nom ciel,
Dans cette nuit torride où la lune est féconde,
Où le succube hume l'alcôve qui gronde.
Gestes et actes d’un être démentiel.
À chaque manifeste, encore est toujours toi.
Mon doux faisceau unique est mon regard sur toi,
Sur elle, ce qui semble combien essentiel.
À travers ses eaux d’un amour torrentiel,
Me croirais-tu vraiment si je te dis : « je t’aime ? »
Suis-je ni or ou diamant du diadème.
.
Mais comment ne pas comprendre cette supplique -comment dire non à des mots aussi violents que doux
RépondreSupprimerA tout simplement l'appel à L'AMOUR
Le dilemme n'est pas resté en fait. je sais ce que je veux.
SupprimerMERCI JAMES Px
RépondreSupprimerTon sonnet passionné est comme un torrent bouillonnant
Comment pourrait -elle y resister
On sait que les femmes sont plus résistantes que les hommes
Supprimerune plume vive et tumultueuse, on ne peut se tromper sur sa véracité, très joli bouillonnement amoureux!
RépondreSupprimerEntre le vers et la cité il reste le temps à venir
SupprimerExcellent.
RépondreSupprimerBrûlant et passionné, comme jamais rassasié par ce festin qui par bonheur ne finit pas, puisque plus on s'en délecte plus l'appétit se fait vif et le menu riche.
Hello,
RépondreSupprimerLes 2 sont singuliers, en fait.
Le dilemme n'est pas resté en fait. Tu sais ce que tu veux.
Catherine
Un amour passionné que tu nous fait découvrir par tes mots de feu !
RépondreSupprimerDes feux de l'amour dans l'eau douce
Supprimerl'amour passe souvent par la violence des mots...et du geste. ça déménage pour James. MERCI...
RépondreSupprimeroui
Supprimer« La passion, cet absolu désir qu'on ne peut jamais combler quand il a pour moteur l'absence de l'autre. »
RépondreSupprimerde Jean Royer
Oui
Supprimerj'ai aimé
RépondreSupprimerMagnifique écrit comme tu sais le faire
RépondreSupprimerMerci poète
Douce soirée
Oui mais je préfère écrire en prose ou libre avec ou sans rimes... C'est moins mature mais bien plus vif et nature !
Supprimeroui oui oui
Supprimerc'est plus mature
on ne fait pas joujou avec ce que l'on a à dire
on ne fait pas semblant
et l'harmonie vient doucement
Le titre est une question.
RépondreSupprimerLe texte une réponse.
Et moi ?
ben, je lis...
Et il y a une autre question intime dans le dernier tercet...
SupprimerEffectivement.
Supprimermais elle ne m'est pas destinée.
heureusement, n'est ce pas ?
Très beau poeme
RépondreSupprimerbravo
Harmonie
Merci et ne rester pas trop en veilleuse... Cela use les batteries
SupprimerJe comprends que vous avez voulu vous amuser avec quelques consonances, cela donne un résultat étrange. Pas aisé d'introduire le "h" muet. d'autant que l'on doit dire "je hache" me semble-t-il.
RépondreSupprimerVos amours ne sont pas exempte de violence.
on doit le dire ou l'écrire car on ne parle comme on écrit... Sinon vous avez raison je hache ... pas mes mots vous non plus !
SupprimerL'amour est une violence car il peut à la fois faire jouir et rendre malade... Vous n'avez jamais été malade de l'autre ?
Pas DEGAS si de son vrai nom c'est De Gas ou vous vouliez dire peut être Dégas...
Tres joli poeme...J'aime!
RépondreSupprimerUn son nait du cœur! laissez le crier! Le poing levé et non sur le coté!
RépondreSupprimerBelle soirée
Ô... que tu aimasses... me ravis et Merci
RépondreSupprimerL'excellence du festin
RépondreSupprimerEntraîna-t-il un amour perpétuel ?
Toi, aile, amour torrentiel,
Faisceau de la lampe du regard
Braqué sur le galbe de la danseuse penchée sur le côté
Dans son tutu blanc...
L’éther comme le diable n’a pas de nom Ô ciel,
RépondreSupprimermes narines dansent il le devine
sourire
b soirée
Raaah, vous écrivez bien l'ami ! ;)
RépondreSupprimerJ'ai noté des coquilles, mais elles ne le sont qu'à cause de mon esthétique personnelle, aussi il serait vain de les citer.
A vous relire !
que c est agreable a lire ..des mots finement ciseles tout au long du poeme ...merci .
RépondreSupprimeroui elle te croit c'est sûr
RépondreSupprimeron aime le vrai le pur le beau
pas l'or ni les diamants
on aime l'humain le simple
et la poésie subliminale
mais on se la joue...
J'aime, merci Monsieur, une belle journée, Emelle.
RépondreSupprimerl'amour bien qu'éphémère est un perpétuel festin
RépondreSupprimeret il faut hélas "quitter la table, lorsque l'amour est desservi"
amicalement et merci pour le partage
danielle
L'amour c'est une alchimie, un peu comme une recette de cuisine, le plat a la saveur qu'on lui donne...
RépondreSupprimerMerci pour ce texte original.
Amitiés
Lily
Le bijou le plus précieux c'est l'amour brut !...le régal n'en est que meilleur
RépondreSupprimerJ'adore !!!
RépondreSupprimerMe croiras-tu vraiment si Je te dis * Je t'aime * ...
RépondreSupprimerUne fin qui nous laisse sur notre faim ...
J'ai beaucoup aimé !
MERCI pour ce moment Chez TOI !