Au sein liberté
Hommage aux combattants qui luttent contre l'ignominie
Pour conclure je cite Aristophane :
« La satire contre les méchants n'a rien d'odieux ; elle est, aux yeux de tout homme sage, un hommage à la vertu. »
Aristophane
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Un hommage magistral. Encore vivant et toujours debout.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup cette puissance révoltée et froide.
Sortir
SupprimerPrendre l'air
Prendre froid
Se réfugier
Est un luxe
Beaucoup trop n'ont même pas cette chance
Ah l’amour toujours l’amour !
RépondreSupprimerMoi qui ne suis qu’amante religieuse
Dans l’archipel des virtueux
A la technique pantouflarde
Je vois autour de moi
La poésie scabreuse
Qui même en animaux
N’est que libidineuse
J’abrite sous mon toit
Au grand dam de la lune
Où le sexe ne sévit pas
Un alyte chanteur
Qui séduit les jeunettes
Un uca violoniste
A pince asymétrique
Un argus bleu de bleu
Une ophrys osmiaque
Et j’observe à loisir
Le cœur copulatif
Des libellules au vent
Monsieur Lutra Lutra
Monsieur Vulpes Vulpes
Ne s’embarrassent pas
De parfums attractifs
Ah que la vie est simple
En l’Eden animal
Dik Dik
L’angulatus se déshabille
Vite vite !
Marine
21 mai 2011
L'habit ne fait pas le moine
SupprimerLutter contre l'horreur et la mort par la liberté de ses mots, échos de la liberté de l'âme. Un superbe poème qui glace le sang
RépondreSupprimerDe sang froid ils se désaltèrent de sang chaud...
SupprimerLa LIBERTÉ des mots contre les MAUX en liberté. BRAVO ! mon Ami de plume pour ce texte fort et courageux dans lequel ta plume descend elle aussi pour l'arène pour se mêler, comme l'ont toujours fait les poètes se mêlant aux luttes ou aux combats de l'actualité. Tu le fais avec fougue dans le témoignage du "document-poétique" qui est à la hauteur des vues de tout être civilisé œuvrant pour le bien de l'humanité face à la barbarie.
RépondreSupprimerTes mots sont forts tant par l'émotion qu'il véhiculent que par l'humanisme qu'ils recèlent. L'évocation en est celle d'une poésie engagée placée sous le double signe du témoignage et de la dénonciation, de la résistance et du combat. Même pour les poètes écrire, en certaines circonstances, doit être un acte qui suppose que la plume se transforme en épée pour dénoncer les horreurs face aux convulsions de l'Histoire. C'est ainsi qu'après avoir lu à haute voix ton poème, je ne peux que te féliciter pour cette prise de parole et de conscience en éveil, et qui corrobore parfaitement cette réflexion : "La poésie n'est pas que belle, elle est rebelle".
Merci pour le commentaire...
Supprimerje te rejoins
RépondreSupprimermerci pour ton texte bel hommage