Le monstre hivernal ouvre les yeux
Sur toutes ses âmes tardives
Qui se pressent pour s’endormir
Avant de rejoindre
Pour les plus forts
Le printemps
Et tous les bourgeons du fruitier
Planté jadis de tes mains
Que ma bouche a perdu le goût
De tous ses baisers sur tes ridules
Qui façonnaient ton sourire
Au bord de la louve
Recouverte d’une gelée bleue
Rosiers et rameaux ne viendront plus
Me rappeler tous ses jours heureux
Je chasse toutes ses fleurs liquéfiées
Le soleil tourne autour de ma tête
Sans omission d’humanité
Je sens encore
Ton souffle sur mes épaules
Jusqu'à ne plus entendre ta douleur
Un poème d'amour d'une grande intensité
RépondreSupprimerGuy
Un défi sous des tensions variables
Supprimerle 230v électrocute
le 110v signale
le 12v chatouille
Beaucoup d'émotion à vous lire dans ces mots justement posés et la nostalgie d'un grand amour
RépondreSupprimerj'ai grandement aimé ma lecture et le défi de mots est bellement exprimé
merci pour cette élégante écriture qui prend le cœur
l'amertume de vertiges que l'on n'a pas ou trop connu
Supprimerà la recherche d'un temps perdu ou imaginaire
un brouillard de mots et d'émotions
Un véritable hurlement du coeur, un hymne d'amour et de tristesse.
RépondreSupprimerTes mots sont d'une telle émotion.
J'aime beaucoup.
vif défi de sentiments qui trouble l'air
Supprimeret serre
les cœurs comme les mains
du début à la fin
Quand l'amour hurle des mots silencieux... magnifique !
RépondreSupprimeraigus et prolongés
Supprimerles cris d'une fleur blessée
Un partage de tendresse très fort
RépondreSupprimer*** tender bravo ***
Bien cordialement.
Bon week-end.
une affection
Supprimerune amitié
un amour
qui va et vient et se détache
pour se perdre dans une nébuleuse
au travers un trou noir
pour mieux se perdre et renaître
ailleurs
Une survivance très joliment poétisée, un très beau défi !
RépondreSupprimerVers souvenirs et fantomatiques
Supprimerune rémanence poétique
pour le bien des uns et des autres
Des mots qui frissonnent de froid et d' amour
RépondreSupprimerdans un poème qui espère ..
Merci pour ce beau partage-défi!
joli jour à toi
Compter sur les uns comme sur quelques vers
SupprimerEt attendre
n'est-ce pas toujours espérer
trop de gens vivent a genoux, mais vivre debout ne doit pas qu'être des cris, simplement vivre avec la conviction que nous sommes nés pour enfanter le bonheur parfois
RépondreSupprimervif défi de sentiments qui trouble l'air
Supprimeret serre
les cœurs comme les mains
du début à la fin
aigus et prolongés
les cris d'une fleur blessée
Compter sur les uns comme sur quelques vers
Et attendre
n'est-ce pas toujours espérer
l'amertume de vertiges que l'on n'a pas ou trop connu
à la recherche d'un temps perdu
ou imaginaire
un brouillard d'émotions et de vers
une affection
une amitié
un amour
qui va et vient et se détache
pour se perdre dans une nébuleuse
au travers un trou noir
pour mieux se perdre et renaître
ailleurs
bravo
RépondreSupprimerFrío ni calor la tibieza reina en dueño en el fondo de su hacia de cristal de bohemia
SupprimerMagnifique.
RépondreSupprimer... Que dire, sérieusement ?
RépondreSupprimerJuste WOW !
Tu m'époustoufles encore une fois, et je n'ai plus rien à dire...
Un réel effort sur la mise en forme et la composition ; c'est magnifique.
RépondreSupprimerC'est sublime, subtil, poétique à souhaits! Je n'ai rien à ajouter, sinon bravo...et merci!
RépondreSupprimerBelle intro
RépondreSupprimerVoilà un poème qui séduit tous mes sens humains ! Merci de ce merveilleux partage !
RépondreSupprimerAdieu sens interdit...
SupprimerSigné Sans Priorité
Beaucoup de mélancolie et de douleur cachée...
RépondreSupprimerSublime ! Et le nocturne de Chopin enfonce les touches dans le cœur...
Merveilleux partage.
Merci !
Merci Evenos. C'est très beau et très profond.
RépondreSupprimerGaby
tous les cris c'est de la douleur Jacques Brel
RépondreSupprimerpoignant poème Evenos
mélancolique plein de tristesse, mais j'aime!
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