Qui s'étoile comme une fleur de pissenlit
À la première brise
Sur le chant rugueux de la terre
Elle démultiplie mon amour
La lecture sans haine d'une hérésie
La lecture aveugle d'un monde sans pitié
Voilà l'écriture de mes heures lasses
Qui s'envole comme un poisson-lune
À la surface des océans
Sur l'écume des jours de Boris Vian
Par la nécessite de survie
Elle dénoue mes nœuds
Pour libérer l'esprit
La lecture sans alphabet d'une île
La lecture d'une croyance sans pensée
Voilà l'écriture de mes heures lasses
Qui s'endort comme les yeux d'un enfant
À la vue du marchand de sable
Sur le divan où tout est silencieux
Par l'au-delà du minimum de bruit
Elle séduit le mortel
Pour aimer le rêve
La lecture sans mémoire d'une vie
La lecture vagabonde sans destinée
*
Let me go
feather a noté L'écriture.
RépondreSupprimerMerci
Supprimertrès beau
RépondreSupprimerHello !
SupprimerTyping on a computer might be faster than longhand mais c'est toujours l'esprit qui dirige l'alphabet
Une écriture comme un rêve.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup
J’ai été emportée par votre belle écriture,
RépondreSupprimerJoli poème bien rythmé,
Bercée entre l’écume et l’air iodé,
Lieu secret, loin des blessures,
Caressée par ce vent délicieux,
Qui vous emmène dans les bras de Morphée!!
Amicalement
CyAnne... Bonsoir !
SupprimerMa poésie ne m'appartient plus dès qu'elle se lie à l'autre et pour tous ceux qui attendraient comme moi dans la chaleur dans le froid quelque chose d'inattendu...
A plus
mais on ne se lasse pas de lire cette écriture originale et surréaliste !
RépondreSupprimerune écriture indispensable pour le poète ou l'écrivain qui fait jaillir de ses mots de bien jolis sentiments, parfois sombres c'est vrai quand il éradique ses maux mais jamais inintéressante, comme la tienne que je trouve singulière
RépondreSupprimer"Par la nécessite de survie
Elle dénoue mes nœuds
Pour libérer l'esprit" Voilà à quoi elle sert cette écriture qui nous serre les tripes : à se libérer et éventuellement à transmettre.
j'espère n'être pas hors sujet
Amitiés
Lucienne
Du bout de ta plume tu éveillés nos sens ….tout en douceur …frissons assurés…un coup de cœur , amitiés coralie
RépondreSupprimerOmbre31… La peau toujours aussi tiède et l’esprit sain !
SupprimerL’écriture comme un premier vol vers la liberté.
RépondreSupprimerMerci
Lynda
Savoir écrire c'est comme savoir nager...
SupprimerIl y a l'instinct mais il y a aussi la technique...
Utile pour ne pas se noyer trop vite !
La liberté aussi se mérite...
Nous sommes une génération qui a profité et qui profite des combats anciens et nous voyons le déclin avec un œil attentiste au lieu de le combattre...
Certes, il y a des poches pleines de bonnes intentions mais la majorité je crains, préfère la démagogie que de voir la réalité en face espérant un miracle...
Je me bats pour ouvrir les stores à tous les étages avant que nous nous retrouvions tous à la cave !
Le soleil c'est bon pour la peau... Et moi j'y suis !