Jusqu'alors inouï
Entre vous et moi
Elle vit
Sentiment de désolation
Ma tête
Se démêle et se confond
À l'absurde
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
J'adore la fin de votre poeme
RépondreSupprimerSuane... La fin justifie l'élan d'un énième poèmes
Supprimertout à une fin
Une figure animée bien triste, avec une liberté condamnée qui pourtant ne demande qu'à vivre à travers tes mots
RépondreSupprimerDaniel... appliquer ce qui écrit et nécessaire le reste suit toujours l'incontournable avec chacun son destin
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RépondreSupprimera attribué +1 : Figure d'une hypotypose
RépondreSupprimera noté Figure d'une hypotypose.
RépondreSupprimerTrès bel écrit, merci pour le partage
RépondreSupprimerVoilà le difficile
RépondreSupprimerMerci james
Le difficile est à venir quoique nous n'avons usé toute l'encre... Pour adoucir le cru.
SupprimerLa plume, parlons-en! Dans le quoi ?????
RépondreSupprimerdans l'arrière train bleu blanc rouge
SupprimerInteroception
RépondreSupprimerJ avais croisé un soir
Ton regard de faïence
Qui dansait dans l histoire
Et en toute insouciance .
J avais bu à tes lèvres
Comme on boit au goulot
Avec soif avec fièvre
Sirupant le mélo.
J avais croisé les doigts
Pour que ça dure toujours
Mais la danse d émois
Boitait d un pied bien lourd.
J avais croisé le fer
T avais donné l'tempo
La blessure en ma chair
A le goût de ta peau .
J avais croisé un soir
Ton regard de faïence
Et j en garde en mémoire
Son refrain d indulgence .