La poésie est une suspension qui éclaire le monde.
Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions.
J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie.
Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante,
Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange
et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable.
Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être.
Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure.
Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Bonne lecture et bonne surprise. J'aime le rythme du texte et sa fluidité. Pour moi il "décolle" particulièrement à partir de la troisième strophe. Merci.
Au début j'ai eu du mal à "accrocher" à vos poèmes, mais peu à peu, votre style m'a enchanté, et aujourd'hui j'ai eu envie de vous commenter parce que ce que vous écrivez ne ressemble à rien de connu (de ma part, bien sûr, je ne connais pas énormément de poètes). Ainsi, depuis peu, chacun de vos écrits est un réel plaisir à lire, je voulais donc vous remercier
Le titre répond ou confirme (en dehors du sujet) que pour ouvrir la (une) porte il faut parfois se faire violence ou faire des concessions... Rien ne remplace L'expérience et l'effort.
ah les affres du pourquoi et du comment l'art se mange à toute heure n'importe ou mais pas n'importe comment
Je ne me pose pas de limite un besoin une improvisation (consciente ou pas) une écriture une relecture quelques vers remaniés vers libres courts ou et longs déposés avec ou sans rimes un soin indispensable à apporter Ensemble facilité si l'on écrit un peu chaque jour avec conviction erreur et autres adjectifs Et un peu sans doute de talent caché qui ne demande qu'à s'épanouir
Au début, je me suis laissée emmener sans savoir quelle était la destination, et je ne regrette pas, la fin est superbe. Habituellement je n'arrive pas à accrocher avec des vers courts, mais c'est très bien maîtrisé, efficace tout en restant léger. Rien de plus qu'il ne faut. Merci pour ce partage !
Pas vu pas pris bien que les autruches ne volent plus la pub ne dit pas son dernier mot comme quoi l'homme a des ressources et l'autruche pixelisée aussi
Céline a écrit précédemment : Un bien joli poème aux images ravissantes !
J'aime ces vers courts !
J'avais cru en effet remarquer chez toi un certain goût pour l'hexa...
A part cela, oui, c'est joli, évocateur et surtout, ça coule sans accrocher l'oreille : je ne parle pas de métrique, mais des relations des mots entre eux.
La relation des mots entre eux voilà ce qui t'emmène là où j'ai envie de partir accompagné Tout le reste n'est qu'une machine à tuer l'élan à vouloir tout contrôler on oublie l'essentiel l'émotion
sur la photo au premier regard j'avais vu des doigts comme sur un piano au fond un aqueduc comme un instrument à eau ,alors ai lu à la source de ce poème pour me laisser porter
humm...superbe...j'aimerais bien être derrière cette porte...l'étais-tu ?...où n'est ce qu'une affabulation sur une femme irréelle qui somme toute pourrait ressembler à beaucoup d'entre elles ?...,
Il y a toujours une porte Devant ou et derrière soi Lumineuse ou grinceuse Lunette se soleil ou huile de coude L'amour n'est pas paresseux... S'il l'on d'attache à ses chevilles
Salut James, je comprends ce que tu veux dire, mais perso je ne suis pas à la recherche d'un site de poésie aussi grand qu'une métropole, bien qu'un juste milieu serait sympa, mais je n'aime pas trop les mouvements de foule pour me défouler de toute manière, chacun ses désirs d'auditoire, mes yeux sont des strapontins qui regardent défiler des mots, un endroit n'est désert que lorsque l'on s'y seul, ne me sentant pas seul avec moi-même j'arrive à faire la part des coms qui sont aussi nombreux qu'une rose des sables dans le pôle nord, certes il fut un temps où jepo était plus prolixe en dépositaire de poésie, mais je plie le constat en deux et je l'envoie en l'air pendant que je continue d'écrire des poèmes dans le vent,
Viens quand même des fois partager tes textes par là, moi j'aime bien...
Un désert poétique sur un si beau poème... Que la porte soit devant où derrière... Qu'elle s'ouvre où se ferme... Peu importe c'est la découverte qui compte...
Merci Evenos pour toutes ces belles images poétiques Pat Le lit couvert de pollens Où la bise transportait Le parfum de ses nuits passées Au cœur du cercle De ses chuchotements
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RépondreSupprimera attribué +1 : Une porte s’est ouverte
RépondreSupprimer« C' est beau. Oui, c' est vraiment beau. Felice primavera ! »
RépondreSupprimer« Comme c'est joli...si romantique ! »
RépondreSupprimera eu un coup de cœur pour Une porte s’est ouverte.
SupprimerOn y trouve tous notre compte pourvu qu'il soit bon...
SupprimerTu ouvres des portes à chaque poème
RépondreSupprimermarinette... je me suis fait impasse...
SupprimerJ'aime beaucoup ce poème fluide
RépondreSupprimerjacou... fluide non glacial... quoique !
SupprimerC'est très beau.
RépondreSupprimerQuand une porte s'ouvre, on respire.
C'est vraiment ça que j'ai ressenti ici.
Iloa Mys... Oui un appel d'air
SupprimerUne libération votre poème, j'ai beaucoup aimé
RépondreSupprimersuane... fini les chaînes neiges... le printemps arrive.
Supprimer« Une porte vers la liberté. .. c'est très joliment exprimé »
RépondreSupprimeryesss !
RépondreSupprimera attribué +1 : Une porte s’est ouverte
RépondreSupprimerUne porte s'ouvre et une note d'espoir la franchit. Joli décor
RépondreSupprimerTANGO... le décor complète l'intention
SupprimerUne porte s'ouvre sur la conscience et les émotions.
RépondreSupprimerUn plaisir à lire
Quelle bonne idée j’ai eue de m’arrêter ici, je viens de passer un bon moment à la lecture de cet épatant poème, bien écrit.
RépondreSupprimerMerci pour le partage, j’ai aimé,
Amicalement
Un poème que j'ai beaucoup aimé lire, merci de nous ouvrir les portes de ton royaume poétique
RépondreSupprimera attribué +1
RépondreSupprimerUne porte s'est ouverte et tes mots se sont envolés Cerise Gato avec la même grâce que l'oiseau innocent, sort de sa cage.. C'est très beau..
RépondreSupprimerbizzzzzzzz
Sylvie
son panier était rempli de dattes et de roses...
RépondreSupprimerBonjour James, c'est un très joli texte poétique.
RépondreSupprimerMême sans rimes c'est très agréable à lire.
Ah la rime et la vieille cie minière :)
SupprimerQuant à la poésie... elle vit avec son temps !
merci
Le bel amour passant dans l'air...
RépondreSupprimerMerci James
très original poème abordant ce thème , merci du partage!
RépondreSupprimerBonne lecture et bonne surprise. J'aime le rythme du texte et sa fluidité. Pour moi il "décolle" particulièrement à partir de la troisième strophe. Merci.
RépondreSupprimeril y a du rythme merci de l'avoir entendu...
SupprimerAu début j'ai eu du mal à "accrocher" à vos poèmes, mais peu à peu, votre style m'a enchanté, et aujourd'hui j'ai eu envie de vous commenter parce que ce que vous écrivez ne ressemble à rien de connu (de ma part, bien sûr, je ne connais pas énormément de poètes). Ainsi, depuis peu, chacun de vos écrits est un réel plaisir à lire, je voulais donc vous remercier
RépondreSupprimerLe titre répond ou confirme (en dehors du sujet)
Supprimerque pour ouvrir la (une) porte
il faut parfois se faire violence
ou faire des concessions...
Rien ne remplace
L'expérience et l'effort.
à plus.
Le genre de poème qui, sans trop que l'on comprenne pourquoi, est magnifique.
RépondreSupprimerah les affres du pourquoi et du comment
Supprimerl'art se mange à toute heure
n'importe ou mais pas n'importe comment
Je ne me pose pas de limite
un besoin une improvisation (consciente ou pas)
une écriture
une relecture
quelques vers remaniés
vers libres
courts ou et longs
déposés avec ou sans rimes
un soin indispensable à apporter
Ensemble facilité si l'on écrit un peu chaque jour
avec conviction erreur et autres adjectifs
Et un peu sans doute de talent caché
qui ne demande qu'à s'épanouir
voilà.
Tes mots méritaient réflexion intérieure pour chaque poète
SupprimerLes nuages n'apportent pas tous la pluie.... Mais aussi de la grêle... Et parfois des anges... Faut-il encore y croire !
SupprimerAu début, je me suis laissée emmener sans savoir quelle était la destination, et je ne regrette pas, la fin est superbe. Habituellement je n'arrive pas à accrocher avec des vers courts, mais c'est très bien maîtrisé, efficace tout en restant léger. Rien de plus qu'il ne faut. Merci pour ce partage !
RépondreSupprimerMission accomplie...
SupprimerQuelle douceur, quel rythme délié ! Bravo
RépondreSupprimerDouceur c'est le mot...
Supprimerje me suis vu comme le millet de ses certitudes
RépondreSupprimerpuis je me suis vu comme le filet de ses turpitudes
bref je nous ai vu...merci!
Pas vu pas pris bien que les autruches ne volent plus la pub ne dit pas son dernier mot comme quoi l'homme a des ressources et l'autruche pixelisée aussi
SupprimerMagnifique ! Merci pour ce beau moment de lecture.
RépondreSupprimerLa porte c'est refermée
SupprimerJe peux désormais remercier votre com...
Un bien joli poème aux images ravissantes !
RépondreSupprimerJ'aime ces vers courts !
En relecture.
SupprimerC'est une merveille !
Il est toujours judicieux de relire
Supprimerce qu'on a oublié de lire
Poème prenant, voire envoutant. Très réussi. Bravo.
RépondreSupprimerEnvoûtant et mystérieux
SupprimerC'est ce que j'essaie de transmettre lorsque j'écris sur ce sujet
Que de plaisir à lire...et relire
RépondreSupprimerune lecture imagée, prenante
Vous avez tout dit
SupprimerCéline a écrit précédemment :
RépondreSupprimerUn bien joli poème aux images ravissantes !
J'aime ces vers courts !
J'avais cru en effet remarquer chez toi un certain goût pour l'hexa...
A part cela, oui, c'est joli, évocateur et surtout, ça coule sans accrocher l'oreille : je ne parle pas de métrique, mais des relations des mots entre eux.
Cela s'appelle l'euphonie, le contraire étant la cacophonie.
SupprimerMerci, Céline, mais ce n'est pas qu'une question de sonorité.
SupprimerLa relation des mots entre eux voilà ce qui t'emmène là où j'ai envie de partir accompagné
SupprimerTout le reste n'est qu'une machine à tuer l'élan à vouloir tout contrôler on oublie l'essentiel l'émotion
sur la photo au premier regard j'avais vu des doigts comme sur un piano au fond un aqueduc comme un instrument à eau ,alors ai lu à la source de ce poème pour me laisser porter
RépondreSupprimerMerci pour avoir vu lu et écouté
Supprimermerci James Px pour ce poème très agréable à lire, une écriture fluide et sans accroc, j'ai adoré........amicalement
RépondreSupprimerLa fluidité est issue de la vie qui a enveloppé ce poème
Supprimerhumm...superbe...j'aimerais bien être derrière cette porte...l'étais-tu ?...où n'est ce qu'une affabulation sur une femme irréelle qui somme toute pourrait ressembler à beaucoup d'entre elles ?...,
RépondreSupprimerIl y a toujours une porte
SupprimerDevant ou et derrière soi
Lumineuse ou grinceuse
Lunette se soleil ou huile de coude
L'amour n'est pas paresseux...
S'il l'on d'attache à ses chevilles
À plus sur ce désert poétique
SupprimerSalut James, je comprends ce que tu veux dire, mais perso je ne suis pas à la recherche d'un site de poésie aussi grand qu'une métropole, bien qu'un juste milieu serait sympa, mais je n'aime pas trop les mouvements de foule pour me défouler de toute manière, chacun ses désirs d'auditoire, mes yeux sont des strapontins qui regardent défiler des mots, un endroit n'est désert que lorsque l'on s'y seul, ne me sentant pas seul avec moi-même j'arrive à faire la part des coms qui sont aussi nombreux qu'une rose des sables dans le pôle nord, certes il fut un temps où jepo était plus prolixe en dépositaire de poésie, mais je plie le constat en deux et je l'envoie en l'air pendant que je continue d'écrire des poèmes dans le vent,
SupprimerViens quand même des fois partager tes textes par là, moi j'aime bien...
Bon week-end James
Un désert poétique sur un si beau poème...
RépondreSupprimerQue la porte soit devant où derrière...
Qu'elle s'ouvre où se ferme...
Peu importe c'est la découverte qui compte...
devant derrière
Supprimerouvert fermé
le judas a mis le couvert
et l'oiseau prie
C'est pour cela j'ai éternué à cause de cela....
RépondreSupprimer'
Le lit couvert de pollens
Où la bise transportait
Le parfum de ses nuits passées ....'
Un antihistaminique ! Et tout coulera du bon côté du chantepleure...
SupprimerSigné Docteur Popol
Nous sommes à la période où le grain de pollen enivre
Supprimerou plombe nos jours
Signé Un Allergique
sans doute une douce rêverie
RépondreSupprimermais seul James sait raconter ça ainsi!!!!!
bravissimo
amitiés
RP
Une porte s'est ouverte
RépondreSupprimerSur des belles découvertes...
Magie de tes mots, magie de ta musique toujours bien choisie.
Merci, c'est sublime
Merci Evenos pour toutes ces belles images poétiques Pat
RépondreSupprimerLe lit couvert de pollens
Où la bise transportait
Le parfum de ses nuits passées
Au cœur du cercle
De ses chuchotements