Il n'y a plus personne
Elle m'a pris dans ses bras
Une dernière fois
Je ne sais pas
Ah qu'elle est belle ma montagne
Elle a le goût qui rend amoureux
Un vol si haut
Son cœur me rend libre
En moi la tristesse n'est jamais noire
Avérée blanche comme une page
Qui attend qu'on lui dise
Demain tu seras le grand livre
Un verger de pensées
Un millier de flocons en mer
Dans le berceau de la sagesse
Elle voit mes mots
Monter au sommet
Givrés de sucre vanille
Noyer l'insoutenable
Et embrasser tous les nuages
Portés par le foehn à ses lèvres
La salive n'a ni frontière ni prison
Juste le goût des autres
Le goût de vivre
Sublime poème... Comme un paysage qu'on apprécie en tenant à la main une tasse de chocolat chaud. Merci James
RépondreSupprimerAmitiés
Une grande allégresse émane de votre poème. Merci de nous le proposer
RépondreSupprimerUn beau voyage avec des mots qui nous entraîne dans une belle lecture. Amitiés
RépondreSupprimerLe goût de vivre
RépondreSupprimerSuperbe... laissons nous aller et vivons le temps qui nous reste ...merci James Bravo!
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RépondreSupprimerMerci, j'aime !
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RépondreSupprimerCette notion de la tristesse posée est déjà espérance en soi, très beau poème!
RépondreSupprimer« De belles images, très beau texte, merci ! »
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