Mes pensées poussent les murs
Imbriqués d'une inconscience
Qui me conjugue à tous les temps
J'en oublie le sens
Les yeux grands ouverts
L'amour comme jeu essentiel
Tu es sur mes épaules
Ton destin te sourit
Un cœur ailé a davantage d'air
Il en est la volupté
Laissons-nous deviner nos pensées
Il y a autant de soleil que de pluie
La poésie m'a capturé
Quand la Poésie capture des poètes,
RépondreSupprimerc'est pour libérer leurs émotions
Rien ne doit être emprisonné
Belle journée @ Plus.
Merci
SupprimerD'une pensée à l'autre, s'enrichit la page de ses forces de ses couleurs et ses émotions...
RépondreSupprimerBravo James !
ton destin te sourit , le mien te suit ....j'aime beaucoup ces deux vers là amicalement Vic
RépondreSupprimerN'est-ce pas là l'essentiel qui est souvent couvert...
SupprimerAcclamations, rideau baissé, recommence une nouvelle pièce, la vie.
RépondreSupprimerattention ne pas se cogner le pied
SupprimerSuper. J'ai vraiment apprécié
RépondreSupprimerMerci James de ce partage
Gaby
entre diesel et super j'opte pour l'hydrogène
Supprimerun vrai plaisir de lecture
RépondreSupprimeret autant de coms??lol
ce ne sont pas des connaisseurs!!
bravo
RP
Les com's c'est comme le temps... On est jamais content !
SupprimerLes vaches sont maigres mais le beurre glisse toujours.
Bravo
RépondreSupprimerIl y a un ketch "je suis content"
SupprimerLa poésie n'est au fond que l'ombre de nos pensées quand elle éclaire un pan de charpente (char pente) une histoire qui roule.
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