Errent ici dans ce poème
Dont l’erreur singulière
M’offre l’étrangeté de l'amour
Ce cœur brisé d'une pierre
Qui a scellé le temps
À ce lieu dit
Ce n'est pas mon imagination
Alors au diable ce qu'il pense
Éreinté à chacune de mes échappées
Il demeure noyé aux vapeurs
Ascensionnelles et cruelles
Comme ces ombres sur le mur
Qui surfent sexe à l'air
Et laissent à l'aube
Une trace commune
Sur la vague redevenue solitaire
Jamais il ne reviendra
Il n'est pas suicidaire
Libre de décider
Redresse-toi et va
Dans le jardin des lices
Au-dessus du jeu
Gardons toujours la foi en l'amour
J'aime le flou de la première
RépondreSupprimerLe ton de la deuxième
La liberté de la troisième
La décision de jouer à l'amour des deux dernières...
Je parle des strophes toutes propres !
Merci James pour ce bain poétique !
Yubanca... L'amour le seul remède universel à toutes situations
SupprimerDifficile, pour moi, de capter clairement le corps de ces mots, ce qui ne m'a pas empêché d'en apprécier la beauté.
RépondreSupprimerIci la beauté est pénétrable seulement par le laid qui déborde de mes vers
Supprimervous avez trouvé une petite cuillère
écarter la peau
et déguster ses mots...