J'ai des maux de tête
Comme ce parfum de guerre civile
Qui s'incruste
À chacune de nos vies
Mon regard
Oblique
S'enlise
Après toute cette poésie futile
Qui dérive en vain
Dans un cerveau ramolli
Je me demande
S’il ne serait pas mieux
Que je me perde
Au prochain point final
Ce quelqu'un qui désir
Est ce quelqu'un nécessaire
À force de l'écrire
On finit par y croire
Un nuage soutien-gorge me sourit
Je suis là où se trouve la douceur
Au-dessus des toits
Une étoile élève mon crâne
Rempli de poèmes
Ils sont pour toi
L'inconnu d'une heure
Bonjour,
RépondreSupprimerLe vent se lève sur l'abricotier et j'attends que le soleil mature la couleur des fruits en lisant une poésie
C'est le 14 juin et On est nombreux à être là où se trouve la douceur ... l'amer n'attire personne, en revanche bientôt arriveront sur la mer les marées d'automne, mais avant il y aura l'été
Je vais mettre une étoile dans encore , le monde a besoin de Poètes
Belle journée.
Paule
Merci et bel été... A venir
SupprimerJ'aime beaucoup le cheminement de cette écriture !
RépondreSupprimerAprès la sortie de la gorge du nuage...
Merci James !
Crise "existessencielle"
RépondreSupprimerOu du vague à l'âme...
RépondreSupprimerMerci pour cette belle lecture
marielesmots a noté L'inconnu d'une heure.
RépondreSupprimerle e de l'inconnu ?
Supprimer« Tout un programme... »
RépondreSupprimerFreudien
Supprimer« On t'a reconnu :) »
RépondreSupprimerJ'imagine
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