Je ne sais pas où elle se cache
Perdu sans toi et aux abois
Je navigue entre vers et galère
Sur des phantasmes noirs et flottants
Au rien dans mes heures désœuvrées
Comme mes iris Versicolor
Vivant de siccité et de mort
Encore un été de sécheresse
Son influence a causé mon trouble
Et ce n'est pas ce que je cherchais
Perdu sans toi et aux abois
Je vivote entre vers et misère
Comme la fleur de ce marécage
Sous les coups d'un nuage toxique
Combien d'âmes mornes et atones
Abattues au sol comme un sans-dent
La vague Ethernet nourrit le mal
L'omniprésence l'indifférence
A tort ou à raison lâcher prise
La chaleur du jour m'a envoyé
Sans voler l'air frais de ce message
Respirer
Ne consiste pas à écrire
Mais à aimer
À la lueur du cristal je rêve
D'un monde léger et désinvolte
Tu es toujours l'indemne ouragan
Qui me met la mémoire à l'envers
Où ton vent de folie m'imbibe
Délicieuse plume lucide et habile qui sait promener notre regard
RépondreSupprimerIl y a tant à faire, le monde est si cruel
RépondreSupprimerAimer ne suffit pas toujours mais c'est un bon début pour qu'il devienne meilleur
Amitiés soleil
Z.
très joli poème! merci
RépondreSupprimerJe suis entrée dans cette poésie comme dans un cycle où respirer écrire et aimer se jouent infiniment leur place...
RépondreSupprimerMerci James pour cette offrande !
Une goutte d'eau pour une violette
RépondreSupprimerUn petit lac pour une danse de libellule
Une pluie fine pour la majorette
Une rosée bleue au clair de lune
Merci James d'être poète c'est tout un monde de découverte de ressenti qui vient et enveloppe à chaque lecture...
je suis comme vos iris cher très cher je vis de siccité et de mort
RépondreSupprimervous suivez bien mon chemin je vous dirai pourquoi
l'omniprésence nourrit l'indifférence oui
mais que dire de l'absence éternelle ?
tes poèmes sont merveilleux comme toi grand honnête homme anartiste !
bravo !....tu as su placer le sans dents.....j'aime l'ensemble de ce message Vic
RépondreSupprimer