Vêtue de blanc, en deuil d’un sombre secret,
Les couleurs, ces éclats fugaces,
Tissent la différence dans l’éphémère.
Des LED, lucioles modernes,
Au niveau des cernes,
Illuminent le jour naissant,
Luttant contre l’aube difficile.
À Notre-Dame des racines,
Une masse de chair et de peau,
Recouverte de lichen vert d'eau,
Respire comme un Dyson en pleine tourmente.
C’est dimanche,
Le ménage attend, mais le temps s’étire.
Au beau milieu des bois,
Un orage éclate,
Quelques gouttes se perdent
Sur les rides de son front,
Peint par l'arc-en-ciel,
Qui vient s'enlacer
À sa chevelure argentée.
Deux araignées, complices silencieuses,
Se mêlent à la chute burlesque de son cœur,
Sur la toile tendue,
Entre les bras d’un ange,
La vie vacille, suspendue à un fil ténu.
La vie tient à un fil..
Oui, la vie ne tient à presque rien !
RépondreSupprimerSauf pour celui qui réussit à la capturer à travers le fin rayon de passage...
Merci James !
Yuba... Un fil a toujours deux extrémités faut-il choisir celle qui a la tête hors de l'eau...
Supprimer« Tout un programme... »
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