Et les baisers sauvages à la terre ferme
A perdu dans une gerce hémoglobine
Le mépris guerrier qui saigne les souvenirs
Mille batailles méritées et décisives
Aux heures indéterminées la nuit l'entraîne
Avec la lumière et son cri s'est imprégné
D'un silence qui fait mal d'un amour qui joue
Une musique triste pour tous ceux et celles
Dont l'élastique n'a pas rompu l'œil si froid
Et à la fin de toutes ces voies libérées
Seul est resté un être flou à la dérive
Vertige grisaille
L'eau s'écoule de ses yeux
L'ombre sème encore
Bonjour James Px.
RépondreSupprimerJ'aime bien vous lire
Vous le savez, je vous l'ai souvent dit.
Votre poésie comporte des mystères que vous choisissez de garder pour vous mais la lecture est toujours belle.
Merci
passage
RépondreSupprimerdeux haïkus qui enserrent deux sizains
Supprimerla forme est originale
J'adore ta poésie. Franchement ! Bravo à toi !
SupprimerEst venue la Vénus
RépondreSupprimerVoeu nu d'entre les tombes
Au parfum d'eucalyptus
Là ...Si bellle ...Doucereuse Colombe
Sous les rêts d'une pluie fine
En sortant victorieuse
Fraîchement des Ondines
Apportant tant ! La Délicieuse
Aux murmures de la bruine..
Pierre Amiot la chante si bien ...
RépondreSupprimerC'est une chanson douce que me chantait ma maman .