Qui suis-je ?

- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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lundi
L'oubli de l'être
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RépondreSupprimerBanniange... tu parles Heidegger...
SupprimerHeidegger, dans une œuvre abondante et superbe, ne pose-t-il pas, au fond, la question fondamentale de l’opposition entre le matérialisme et les idéalismes, entre une pensée qui ne trouve le « spirituel » nulle part et une conception qui invente des dieux et des valeurs (des êtres mystérieux) pour répondre aux angoisses de l’ignorance, non pas de ce qui est, mais de ce qui va advenir ? Car que révèle le « dévoilement de l’être », sinon des souffrances inéluctables qui, quoi qu’on fasse, finissent par nous assaillir ? Heidegger use d’un euphémisme pour définir l’homme un « être-pour-la-mort », c’est « être-pour-souffrir » qu’il fallait dire...
J'ai très peu lu Heidegger que je trouve particulièrement hermétique (et c'est peu dire voir la critique d'Adorno : le jargon de l'authenticité), par contre je te recommande vivement l'ouvrage de Max Dorra : Heidegger, Primo Lévi et le Séquoïa, la double conscience. C'est à Auschwitz que s'opère le fameux dévoilement de l'être...
SupprimerBanniange... Heidegger est un véritable tupperware allemand truffé de cookies indéchiffrables, comme beaucoup d'autres il s'écoute pour « être-là » ... Le dévoilement de l'être je l'imagine comme étant un processus inévitable qui s'épluche crescendo de l'infiniment anodin à l'infiniment inhumain.
SupprimerLe plus vraisemblable équilibre est d'être sous « la main chance »... Pour éviter le déluge.
Je ne connais Max Dorra mais sa fille Dora l'exploratrice... Une autre façon d'appréhender la vie sous sa forme la plus simple avec comme conclusion : We did it ! Nous l'avons fait.
Bonsoir,
RépondreSupprimerEt si l'On est accompagné pour le Franchir... c'est encore mieux !!
Lys..
Lys-Clea... Tous les tunnels ont une entrée mais la sortie n'est jamais attendu au bon moment...
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