pour ne pas s'extraire
Je reste songeur
aucuns cafards à l'ombre des ressorts
ni de grands étalés sur la page blanche
ni de corps absents inaccessible à la poésie
ni de mains amputées de fous en liberté
ni de plinthes tachées de trous
Nid d'amour je l’attendais
vous le savez
comme on attend l'autre moitié
En reste d'épreuve
pour le récif de son regard
la vie
cet enchantement
Bonsoir, il faut toutefois espérer fort... Qu'elle revienne vibrer en vous !
RépondreSupprimerLys-Clea... le cercle ne comporte pas d'angle mort
SupprimerUn poème délicat, plein d'humilité
RépondreSupprimerMerci pour cette lecture
Edelphe... humilité oui un mot qui se perd
SupprimerBeau poème abordé de façon originale
RépondreSupprimerLucyline.. l'originalité ne doit pas tuer l'idée... pas simple
SupprimerLe temps s'arrête parfois
RépondreSupprimerdu profond d'un regard
d'un ballet fatigué d'une rangée de cils ....
Telles des lèvres pincées .
Une larme à l' écart
Tombée délicatement sombre
de son ricil.
.
temps mort
RépondreSupprimerOuais mourir peut bien attendre James
RépondreSupprimerL'paquet est passé à onze balles
RépondreSupprimerEt toi tu fumes toujours autant .
Faut bien bizuter tes fringales
Faut bien engraisser tes poumons.
Les fins de mois sont difficiles?
Faudrait arrêter de cloper
Avoir un peu d'Tonigencil
L'bicarbonate aussi ça peut aider !
C'est à la fois étrange et interrogateur, comme souvent en poésie, il y a de la place pour l'imagination, j'aime bien ainsi que le rebond positif à la fin.
RépondreSupprimerL'amant n'est pas loin, il est dans ta tête !
RépondreSupprimerPlus d'analysant, plus de vie!
RépondreSupprimerEst-ce bien cela le tragique constat de ces quelques vers?
Vivre au ras du recif d'aimer
RépondreSupprimerIci mes mots sont envoyés
Pour cet amour
J'ai bien aimé ma lecture
Merci