Je ne l'ai pas assez lu
Vers une nouvelle renaissance
Ou vers l'errance
Plus jamais elle n'écrira
Plus jamais elle chantera
Elle est cette corde de violoncelle
Usée par les mea-culpa
Des uns et des autres
Je ne l'ai pas assez écouté
À l'aplomb de Sirius
Flouté
Par l'arborescence Covidienne
Jamais l'épiderme de son corps
S'est recouvert d'or
Seulement d'altruisme
Tout en elle résonne de douceur
Ce texte m a fait pleurer ...
RépondreSupprimerJ'y entends la voix d'Hugues Hauffrey... dis moi Céline...
RépondreSupprimerEn effet...
RépondreSupprimerBravo
Lilia
J'ai ressenti ce poème comme une ingénieuse idée d'altruisme
RépondreSupprimerUne généreuse envie de reconnaître l'autre dans ce qu'il exprime au plus fort au plus doux
et au plus merveilleux :
Son art
Merci James !
J'ai lu un regret qui m'a beaucoup touchée.
RépondreSupprimerQu'est-ce que c'est beau !
On peut découvrir cette petite voix à tout âge, heureusement
RépondreSupprimerJ 'voudrais partir très loin d'ici
RépondreSupprimerEt m 'enrouler dans un nuage
Un doux cocon plein de magie
Plein de silence et de mirages...
J'voudrais sentir toute la paix
Que l'on ressent quand tout est calme
Quand tout est doux et enneigé
Et m 'y feutrer loin du vacarme .
J' voudrais lui dire que dans ses bras
Mes ailes sont enfin apparues
Que le parfum de ses chakras
Est le soleil dont je suis férue.
J'voudrais partir très loin d'ici
Tout en gardant les pieds sur terre
Rêver d'amour et d'utopie
Et pouvoir parler à mon père.
La voix vous a lu
RépondreSupprimerEt le jour où tu entendras cette petite voix
suis-la aveuglément...
merci à tous
On ne se parle plus depuis des ans
RépondreSupprimerje pense encore souvent à toi.
Que deviens tu depuis tout ce temps ?
Et tu heureuse ? Ma petite voix ?
Je te revois assise et belle
Vêtue de blanc sur cette pierre
Tu me manques tant mon hirondelle
Nos pas se sont couverts de lierre.
Je ne sais si c'est à Trévise
Qu'a coulé l'eau de ta fontaine.
Quoi qu'il en soit je réalise
Qu'il y a plus d'amour que de haine
Dans tous ces mots qu'on sait pas dire
Dans ses poèmes qui nous amènent
À voix haute à relire .
On ne se se voit plus depuis longtemps
Pourtant on ne s'est jamais séparées
Tu es près de moi comme ce beau temps
Quand je suis triste ou déprimée.
C'était écrit dans nos carnets
De poésie que j ai gardé
Contre mon cœur comme un présent
Qu'aucun futur n 'effacerait .