Sous le soleil de la colline
La libellule stationne et observe
Comme une étoile sans lueur
Renvoie ses ombres
L’orient s’arrêtera à la frontière
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
J'adore tout simplement
RépondreSupprimerMerci James du partage
Bise et amitié de Bourgogne
A
Choisir le bon trajet
SupprimerPour toucher les sommets
Pour voyager dans l'air du temps
Sans finir sur un tapis volant
Attentif aux changements radicaux
La puce n'est plus l'oreille du berceau
Mais dans les yeux il faut réagir
Avant de vomir et de mourir
Je suis revenue voir la vidéo
RépondreSupprimerElle est magnifique
Merci poète et douce après midi
Il n'y a pas que la poésie qui soit belle...
SupprimerMerci !
ma perle mon ombrelle mon amour
RépondreSupprimercomme cette libellule change et devient tendreté amour légèreté
Une évolution sereine
SupprimerNous pouvons le croire
hop
RépondreSupprimerHop²...
SupprimerMerci
je retiens
RépondreSupprimersur sa faim
sourire
b soirée
...Merci
SupprimerLe temps a toujours raison.
L'amour : une réalité à confondre
RépondreSupprimeron a tendance à tout confondre
SupprimerUne nouvelle pépite. Je m'étonne vraiment que personne ne commente plus... JamesPx. est plus qu'un poète : un artiste !
RépondreSupprimerJe suis fan !
Je l'avais oublié celui là qui me tient tant à coeur
Supprimerhector merci encore...
C'est bien connu on garde le meilleur poUr la fin...
une impression trouble en relisant vos mots... amplifiée par la mélodie
RépondreSupprimerpeut-être la sorcellerie de cette libellule...
La libellule est-elle revenue ou a-t-elle disparu
Supprimerl'histoire nous le dira peut-être...
En venant vous lire je pensais m'évader aux douces lueurs d'un train de rêve.... en vous lisant, je vois les rêves interdits de trop nombreuses petites libellules...
RépondreSupprimertexte très profond...merci à vous de ce partage
Sourire de Clem*
Dans le fond ça pue
Supprimerremontons tous à la surface
et laissons-y
La misère et les salauds
Un contraste troublant entre la réalité de sang et de larmes et cette quête de paix ... très beau!
RépondreSupprimerL'ambiguïté est à l'intérieur de chacun de nous.
SupprimerUn étrange paradoxe que cette dualité entre l'horreur d'une vie de sang, de souffrance et cette volonté de trouver la paix, la sérénité, la douceur et la beauté.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup.
Un portrait d'une L perdue dans son vol Avenir ou sans...
Supprimerqui cherche racine
ou qui cherche la bonne terre
quitte à commettre le pire comme le meilleur...
Une L jihadiste ou une L de tous les jours.
un texte poétique saisissant de vérités ! les mots pour le dire sont puissants et raisonnent encore dans ma tête après lecture ! De graves messages sont passés, Cerisegato et j'aime particulièrement cette strophe relevée entre toutes :
RépondreSupprimer"La vraie télé réalité
Serait de s’occuper de l’errance juvénile
En train de se convertir à la guillotine
À la fois si distante et si proche
Hors de la rumeur changeante
Où la jeunesse amassée crève
Dans la brume étrangère
Sans voir la tendre lumière de la vie"
Elle me touche beaucoup celle-ci parce que je m'inquiète de l'avenir des jeunes mais quel sera-t-il ? En ont-ils un seulement vu les dégâts déjà occasionnés ?
Merci pour cette plume incisive qui parle sans tabou de cette télé-réalité effrayante et inquiétante pour la jeunesse actuelle
Amitiés
J'écrirai tant que la pluie n'aura pas noyé le poisson scie
SupprimerJe repars vers la bête et le souverain
entre deux plats c'est bientôt midi
un écrit que j'ai lu et relu
RépondreSupprimerun train aux dures et fâcheuse réalités d'un monde
Un écrit à méditer dans ses profondeurs
Bravo
Amicalement
Ferhat
Rien n'est simple lorsque la pensée s'illumine pendant que l'on marche.
SupprimerLe monde en 30 ans a évolué si vite que plus personne contrôle réellement ses propres mouvements et pensées
Je suis en accord lorsque Duhammel dit que l'action ne remplace pas la méditation
cependant ne pas oublier que l'un ne va pas sans l'autre...
Et j'ai comme l'impression qu'aujourd'hui
le monde des ficelles qui tiennent les pantins l'oublie...
Il médite sans agir ou il agit sans méditer
En tout les cas s'il médite ou agit c'est par intérêt pur...
L'individualisme est de rigueur malgré les moyens illimités de communications que nous avons
nous n'avons jamais été aussi monologue... Le nombril de nous même...
Je crois au clan car par le clan on résistera à l'ogre qui voudrait nous dévorer.
difficile de dire pour moi si ce texte est "poétique" mais il est sûr que le monde actuel ne nous y conduit pas... vers la poésie
RépondreSupprimerL'orient express est un de ses parfums contemporains qui me fait réagir et écrire...
SupprimerLa poésie n'est qu'un véhicule
où voyagent la beauté l’amour la douleur...
dans lequel j'oublie les principes de ses vieux os
sans pour autant oublier une certaine prosodie...
Celle qui provoque l'émotion et le sens
L’homme-libellule
RépondreSupprimerCelui qui vole en rayonnant
Sur les rus ruisselants
Dans l’ombre frissonnante
Des roselières en fleur
Celui qui dit je t’aime
Derrière la barrière
De sa main cachottière
Avec un petit rire
Maladroit
Celui qui sous-entend
La musique pianante
D’une danseuse nue
Sur un parquet flottant
Celui qui dit ma mie
Qui peint avec ses lèvres
Des visages d’enfants
Et des voiles de vierges
Mon homme-libellule
Doré dans le couchant
Comme un cheval nimbé
Au sommet du grand champ
Qui jette son licou
Et pleure lentement.
Marine
2 octobre 2014
Un texte haletant qui ne déraille à aucun moment, n’en pas descendre en cours de route
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