Vingt mille lieues la tête ailleurs
Sans investissements ni obligations
Je me suis jamais senti aussi libre
Un rêveur à qui le réel a souri
Au diable la question folle
Suis-je heureux sans travailler
Vous êtes venus surprendre un secret
Que tout le monde devrait pénétrer
Le secret de toute mon existence
Écoutez alors le secret de l'eau bleu
La pluie qui défie le soleil
Le feu qui lèche une tranche d'aubergine
Et ses perroquets verts chanter l'amour
Embrassez ce rouge à lèvres carmin
La brume flotter
Impétueuse et un brin délurée
Suivez l'araignée des airs et des songes
Par delà la fenêtre aux barreaux tendres
Flairez le matin
Exhalant une fragrance de thé au citron
Dans la jouissance de ces instants
Mon ennui de vivre n'a plus le temps
Et si le grand dimanche
N'est pas encore pour demain
Je prendrai toujours le temps
Le temps pour rêver
Le temps d'aimer
Le temps de vivre simplement
Merci pour ce vibrant poème coloré
RépondreSupprimerjacou... Quand mon téléphone vibre ma seule envie c'est que l'amour s'affiche
SupprimerUne écriture remarquable
RépondreSupprimerpat... tout est remarquable
Supprimerla musique est top pour ce texte , ou les mots cisèlent l' atmosphère
RépondreSupprimeron imagine le début d'un film
Une leçon de sagesse.
RépondreSupprimer« Plus on possède la faculté de contempler, plus on est heureux. » va comme un gant.
RépondreSupprimerPierreJ.
L'été est là ça me va comme un maillot de bains...
SupprimerSans investissements ni obligations
RépondreSupprimerJe me suis jamais senti aussi libre
Un rêveur à qui le réel a souri
Au diable la question folle
Suis-je heureux sans travailler
Un bel equilibre...quoique de contrebande... gala
Tant que la bande reste verticale
Supprimerelle ne se collera pas
sur le sol tout de suite...
Comme d'habitude, c'est parfait James !
RépondreSupprimerJ'adore lire tes poèmes: c'est toujours un vrai plaisir que de voir un de tes poèmes
Merci pour tous tes commentaires !
SupprimerHallucinante ta forêt de champignons...
Tu sais la véritable inspiration suppose du souffle.
Ce n'est souvent que du vent...
La meilleure inspiration c'est la vie !
Aristote ou pas, vive la vie.
RépondreSupprimerhello l'homme papillon.
L'homme papillon est libellule depuis 2009... A plus
Supprimervite va lire mon poème a-mer ce corps! je raconte cette même expérience de vie contemplative et de non ennui. Cela me fait plaisir de te voir ici par contre je ne t'ai jamais vu m'écrire,
RépondreSupprimerSalut ! Ah le temps le temps d'écrire encore un peu le temps de commenter très peu... Jepoème un lieu commun qui est mort sans honneur !
SupprimerA plus.
Le temps de vivre simplement... c'est peut-être là tout le secret du bonheur, mais qui est capable de toucher du doigt "cette simplicité", nous qui cherchons toujours midi à quatorze heures.
RépondreSupprimerJe ne retiens pas cette phrase de Virgile
SupprimerLe treizième travail d'Hercule : trouver un emploi... mais celle se Socrate modifié par bénévolat poétique...
Le travail est la plaie des classes qui nous volent...
Nous connaissons à présent après une vie d'activités, le temps béni des loisirs... eh bien nous avons du acheter un agenda tant notre temps n'est pas gaspillé.. nous le passons à nous faire plaisir.
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SupprimerSi l'agenda n'est pas médicalisé
je veux bien vivre centenaire
mais pessimiste
j'ai pris mes dispositions
Guérir avant d'être malade
SupprimerSalut James !
RépondreSupprimerC'est absolument magnifique , j'ai lu plusieurs de tes poèmes et tu possèdes un style bien à toi . J'aime beaucoup les multiples images que tu invoques , j'imagine qu'elles sont le résultat d'une grande sensibilité . Tes écrits échappent à toutes les formes connues , et pourtant quelle fluidité ! C'est un plaisir de se laisser porter...
Bonsoir Eliande... Merci.
SupprimerJe m'échappe à moi-même souvent
In extremis
Mes orteils évitent encore la chute libre...
Le vide n'est jamais loin lorsque tu flirtes avec...
oui
RépondreSupprimerEst-ce l'heure indécise et exquise
SupprimerQui ne dit ni oui ni non...
Très justement dit.
RépondreSupprimerUn plaisir à lire
Je ne retiens pas cette phrase de Virgile
SupprimerLe treizième travail d'Hercule : trouver un emploi... mais celle se Socrate modifié par bénévolat poétique...
Le travail est la l'arme des classes qui nous volent...
pour avoir frôlé moi aussi cette faucheuse, je dis bravo pour ce poème superbement et justement exprimé
RépondreSupprimerAprès un tel coup asséné, la vie est autre et les petits riens font la différence
merci pour ce témoignage touchant
Amicales pensées
Espérons que la chance sourira encore...
Supprimer"Amour oisiveté et contrebande"
RépondreSupprimerAvec toi, un beau programme !
Une bande adhésive n'attire pas que les mouches
Supprimersimplicité et vérité; très bon mélange !
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